L'ancien joueur devenu analyste Jeremy Roenick a employé des termes durs pour qualifier la performance de Patrick Marleau, "une performance de sans coeur", mais il a le mérite d'avoir parlé avec ses tripes sans s'être attaqué à l'intégrité physique ou intellectuelle de l'individu en question. Il y a un monde de différence entre parler d'une performance de sans coeur et d'un sans coeur.

Malheureusement, trop d'analystes, anciens joueurs ou autres, préfèrent commenter de façon confortable pour protéger leurs relations.

À lire, à cet effet, le texte de Richard Labbé.