Le Comité international olympique (CIO) a indiqué que près de 500 échantillons obtenus aux Jeux olympiques d'hiver de 2006 à Turin ont été réanalysés avec de nouvelles méthodes de dépistage améliorées.

Le CIO a refusé de préciser si certains de ces nouveaux tests de dépistage s'étaient révélés positifs.

L'organisation entrepose les échantillons obtenus aux JO pour effectuer de nouveaux tests avec des techniques plus performantes afin de prendre les tricheurs qui auraient évité d'être pris la première fois. La limite de conservation des échantillons des JO de Turin, qui s'établit à huit ans, arrivera à échéance le mois prochain.

Le CIO a précisé qu'il avait réanalysé 489 échantillons sur un total de 1219 qui sont entreposés dans un laboratoire de l'Agence mondiale antidopage à Lausanne.

L'organisme qui chapeaute les JO a ajouté qu'il «n'émettrait pas de commentaires sur le processus...en ce moment».

Le CIO a mentionné qu'il diffusera des informations supplémentaires «en temps et lieu».