Encore une fois, cet été, la qualité bactériologique des eaux de baignade sera scrutée dans les plages publiques admissibles qui désirent prendre part au programme Environnement-plage du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.

Près d'une quinzaine de plages en Mauricie et au Centre-du-Québec sont inscrites, jusqu'à présent, à ce programme.

Tout au long de la belle saison, les baigneurs pourront visiter le site https://www.mddep.gouv.qc.ca/programmes/env-plage du MDDEP avant de se rendre à leur plage préférée.

L'an dernier, aucune des plages participantes en Mauricie n'avait obtenu la cote D (polluée), dans la région.

La cote A avait été décernée à 8 plages participantes, soit le camping La Mine d'or, la station touristique Floribell, le Camp des guides catholiques, la plage Sainte-Thècle, la plage numéro 1 du camp école Minogami, la plage Lac-en-Coeur, la Villa du Carmel ainsi que le camping et plage Baie Martin.

La catégorie B (bonne) avait été accordée au Camping du Zoo de Saint-Édouard et à la plage du parc de l'Île Saint-Quentin. La plage Idéale, quant à elle, avait décroché la cote C (passable).

Cette année, les plage participantes en Mauricie sont le parc de l'Île Saint-Quentin, le camping du Zoo de Saint-Édouard, la station touristique Floribell, le camp du Lac Vert, le camping la Mine d'or, la plage Lac-en-Coeur, la Villa du Carmel, la plage Sainte-Thècle, le camping et plage Baie Martin, la plage numéro 1 du camp école Minogami et la Plage Idéale. La analyses seront réalisées par le MDDEP.

Au Centre-du-Québec, près de nous, le Camping Plage Paris de Sainte-Sophie-de-Lévrard s'est aussi réinscrit au programme. L'an dernier, il avait obtenu la cote A.

Le programme d'échantillonnage du MDDEP s'appuie principalement sur les résultats des analyses de l'année précédente. Les plages qui ont reçu une mauvaise cote seront surveillées de plus près. Celles qui auraient décroché la cote D (polluée) verraient donc leur eau analysées 5 fois au cours de l'été, soit entre le 14 juin et le 27 août.

Le site web du ministère où sont consignées les mises à jour des résultats d'analyses permet aussi de trouver les plans d'eau sous le coup d'une interdiction d'usage à cause des cyanobactéries (algues bleu-vert). Au moment de mettre sous presse, aucun plan d'eau n'était concerné par une telle interdiction dans la région.

Pour pouvoir participer au programme, les plages doivent être à la fois publiques et reconnues comme sécuritaires, c'est-à-dire répondre aux exigence de la Régie du bâtiment et au Règlement sur la sécurité dans les bains publics.