L'Unité des enquêtes spéciales de l'Ontario (UES) ne tient aucun service de police responsable dans les cas de six personnes ayant subi diverses fractures lors des manifestations entourant le sommet du G20 à Toronto.

L'UES a enquêté sur six plaintes de gens ayant été traités pour des fractures au visage, au bras, à l'épaule ou aux doigts après avoir été détenus par les autorités.

Selon les plaintes, les policiers auraient utilisé la force de façon excessive, mais l'enquête n'a pu identifier qui était responsable.

Plusieurs agents ont refusé d'être interviewés lors des enquêtes de l'UES, ce qui est leur droit.

Dans l'un des cas, neuf policiers ont été interrogés en tant que témoins, mais l'individu ayant causé les blessures n'a pu être identifié. Dans un autre cas, l'UES a indiqué qu'il n'était pas clair si un homme avait été plaqué au sol par des policiers ou des protestataires.