L’été a ses classiques. Un petit tour dans nos archives photo permet de les revisiter. Cette semaine, Montréal dans la canicule.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Pour soulager les nombreux enfants du Centre-Sud à Montréal pendant les journées les plus torrides de l’été 1947, des douches extérieures ont été installées près de la rue Ontario. De plus, « un philanthrope distribue gratuitement des liqueurs douces aux enfants du voisinage », a alors rapporté La Presse.

PHOTO RODOLPHE CARRIÈRE, ARCHIVES LA PRESSE

« Bébé pleurait, maman avait les pieds douloureux. Rien de tel pour se replacer qu’une bonne petite sieste dans une allée fraîche du parc La Fontaine », lit-on sur la légende qui accompagne cette photo prise en pleine canicule à la fin de juin 1948.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Le mercure peut bien monter, quand on profite d’une piscine creusée, il y a toujours moyen de s’amuser. On est bien loin des douches extérieures des quartiers populaires dans les années 1940…

PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

À défaut d’avoir une piscine dans leur cour, ces citadins de la rue Hogan se sont approprié un bout de trottoir pour que leurs enfants gardent le sourire malgré la chaleur accablante qui s’abat sur Montréal en ce 17 juillet 2017.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

En ville, il y a aussi les piscines municipales pour faire face à la chaleur. Celle du parc Laurier était particulièrement populaire par cette chaude journée de juillet 2013.

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Une jeune touriste venue de Turquie se désaltère dans le Quartier des spectacles à la mi-juillet 2013. Cette année-là, le mercure a dépassé les 30 degrés pendant près d’une semaine, culminant à 33,2 degrés le 19 juillet (à la station de l’aéroport Montréal-Trudeau).

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Un teckel attrape un frisbee près d’une fontaine du centre-ville de Montréal, à la fin d'août 2008. De 1981 à 2010, le mercure a dépassé les 30 degrés pendant 10 jours en moyenne chaque été à Montréal. Selon les projections d’Ouranos, le nombre de ces journées pourrait tripler, voire quadrupler, entre 2041 et 2070.

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Fin d’une journée caniculaire à Montréal en août 2021. C’est le 1er août 1975 que Montréal a enregistré sa journée la plus chaude, avec une température maximale de 37,6 degrés. Le même jour, le mercure a atteint 40 degrés en Mauricie. Il a aussi fait 40 degrés dans le Témiscamingue en 1921.