De plus en plus d'analystes croient cette hypothèse plausible. Ils estiment qu'il s'agit non pas d'un sommet après lequel les prix pourraient redescendre, mais d'un nouveau plateau qui pourrait être atteint dès le printemps.

Car le prix du pétrole risque de stagner au cours des deux ou trois prochains mois, puisque la consommation est généralement moindre en hiver.

Sauf que ce printemps, la demande va recommander à augmenter, notamment chez nos voisins du Sud, qui prennent davantage leur voiture à ce moment.

D'ailleurs, aux États-Unis, on parle de plus en plus d'un gallon à 4$US, ce qui, inévitablement, fera aussi monter les prix à la pompe de ce côté-ci de la frontière.