La marque aux anneaux profite de son passage dans la métropole pour nous présenter la prochaine mouture de son coupé TT. Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre si nous devions la définir, cette Audi adopte un style plus agressif. Elle conserve néanmoins les principaux codes esthétiques du premier modèle. Plus longue (l’empattement progresse lui aussi) et plus large que la génération précédente, cette TT est légèrement plus spacieuse (les places arrière demeurent toutefois symboliques) et est décorée avec goût. Très soignée aussi avec ses insertions d’aluminium. Sa jante est aplatie à la base pour faciliter l’accès à bord.

Techniquement, la TT repose sur une structure hybride d’aluminium et d’acier, ce qui a permis d’améliorer la rigidité sans l’alourdir. Bon point. Sous le capot, le constructeur allemand propose à l’acheteur éventuel le choix entre un quatre cylindres 2 litres suralimenté par turbocompresseur ou un V6 3,2 litres à aspiration naturelle. Doté de l’injection directe, le 2 litres produit 200 chevaux contre 260 pour le 3,2 litres. Pour transmettre cette puissance au sol, ces deux mécaniques font appel à une transmission manuelle à six rapports. La boîte semi-automatique à double embrayage (DSG) sera offerte moyennant supplément.

Outre le coupé exposé à Montréal, Audi proposera également une version cabriolet de ce modèle. Les versions turbo-diesel du Q7 seront cependant absentes à Montréal.