Le printemps arrive à grands pas. Et avec lui, des suggestions de sorties culturelles pour tous les goûts.

Variations nocturnes à l'Espace Go

Anne-Marie Cadieux, Henri Chassé, Marie-Pier Labrecque et Lyndz Dantiste se donnent la réplique dans la pièce Le traitement de la nuit à l'Espace Go, où les protagonistes échafaudent des plans ou s'inquiètent d'une disparition. Denis Marleau signe la mise en scène de cette oeuvre d'Evelyne de la Chenelière. Selon la journaliste Stéphanie Morin, « la pièce d’Evelyne de la Chenelière reste sans conteste un objet théâtral fascinant ».

Lisez la critique de Stéphanie Morin Consultez le site de l'Espace Go

Une oeuvre multidisciplinaire à la Galerie McClure

PHOTO DE L'EXPOSITION TIRÉE DU SITE DE LA GALERIE MCCLURE

La Galerie McClure accueille l’exposition Who sings the queer island body ?

La Galerie McClure accueille l’exposition Who sings the queer island body ? de l’artiste multidisciplinaire d'origine mauricienne Kama La Mackerel. Mélangeant la photographie, la vidéo, le textile et la poésie, l'œuvre est une réflexion sur notre relation aux territoires insulaires et s’inspire en partie de la tragédie du MV Wakashio, un cargo japonais qui s’est échoué sur les récifs coralliens de la côte sud-est de l’île Maurice, déversant plus de 1000 tonnes de pétrole dans le lagon.

Léa Carrier, La Presse

Consultez le site de la Galerie McClure

Ève Côté à L'Olympia

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Eve Côté part en tournée au Québec avec son premier spectacle solo, Côté Eve.

L'humoriste Eve Côté poursuit la présentation de son premier spectacle solo, Côté Eve à l'Olympia de Montréal le 16 mars, à 20 h. L'ex-Grandes Crues propose un hommage à son enfance, une époque où son père était livreur de gâteaux Vachon. Selon le journaliste Dominic Tardif, « sa nomenclature des différents délices sucrés mis en marché par la mythique boulangerie témoigne de ce qu’Eve Côté sait faire de mieux : évoquer avec tendresse et taquinerie la chaleur d’une époque de bonheurs simples et de liens solides entre les habitants d’une même ville. »

Lisez la critique de Dominic Tardif Consultez le site de l'humoriste

Érable et zeppole : La Petite Italie se sucre le bec

PHOTO FOURNIE PAR LES MARCHÉS PUBLICS DE MONTRÉAL

Avec le printemps qui pointe son nez, La Petite Italie invite les gourmands à souligner le retour du beau temps en se sucrant le bec.

Avec le printemps qui pointe son nez, La Petite Italie invite les gourmands à souligner le retour du beau temps en se sucrant le bec, tradition saisonnière autant au Québec qu’en Italie. D’abord ce samedi, ce sera Le Temps des sucres au Marché Jean-Talon, avec tire sur neige, beignes et soupe aux pois, de même que des saucisses grillées sur bâton ou des boissons alcoolisées comme le réduit à l’érable. Le lendemain, à l’occasion de la Fête de la Saint-Joseph (San Giuseppe) chère à l’Italie, les gens pourront déguster les fameux zeppole, beignets typiques fourrés à la ricotta et garnis d’une cerise amarena qui seront offertes dans les pâtisseries Alati-Caserta, Café San Gennaro, Parma Café et Saint-Martin, de même que chez GEMA, où ils seront préparés par les équipes de Stefano Faita et Michele Forgione, jusqu’à épuisement des stocks. Ambiance assurée par chorales, DJ, conteurs, jeux gonflables, buvette et braseros installés au sud du marché.

Pierre-Marc Durivage, La Presse

Consultez le site des Marchés publics de Montréal

Adaptation scénique de N'essuie jamais de larmes sans gants au Trident

PHOTO YAN DOUBLET, ARCHIVES LE SOLEIL

Olivier Arteau

Le Trident présente l’adaptation scénique de Véronique Côté du roman suédois N’essuie jamais de larmes sans gants,sur le thème du sida. La mise en scène est signée Alexandre Fecteau, qui dirige une imposante distribution de 12 interprètes, avec quatre musiciens. Le nouveau directeur artistique de la compagnie, Olivier Arteau, joue le premier rôle de Rasmus. Au début des années 1980, Rasmus fuit son village et l’étouffant nid familial pour aller vivre ouvertement son homosexualité à Stockholm. Il rencontrera entre autres Benjamin (Maxime Beauregard-Martin), fils d’une famille de Témoins de Jéhovah, et Paul (Maxime Robin), « folle rassembleuse et mère poule pour les gais égarés ». Un récit poignant qui nous rappelle le chemin parcouru par une communauté éprouvée.

Luc Boulanger, La Presse

Consultez le site la page de la pièce

Edmond Rostand au Rideau Vert

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Le dramaturge et acteur Gabriel Sabourin consacre sa plus récente pièce au grand Edmond Rostand.

Pif-Luisant retrace la vie et l'oeuvre de l'homme derrière Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand. Olivier Morin incarne Edmond Rostand. Roger La Rue incarne son père, Marie-Hélène Thibault, la domestique Madame LeGuet, et Gabriel Sabourin, son mari. Élodie Grenier et Jean-François Pronovost complètent la distribution. À voir au Rideau Vert les 15, 17 et 18 mars, à 20 h.

Lisez l’article de Stéphanie Morin Consultez le site du Rideau Vert

Les bons et les mauvais côtés de la technologie à la Fondation Phi

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Chun Hua Catherine Dong à Phi devant son œuvre Meet Me Halfway

La Fondation Phi pour l'art contemporain accueille entre ses murs 14 artistes qui composent l'exposition Conditions d'utilisation. Au menu : des œuvres fortes, étranges, belles, inspirantes, dérangeantes ou poétiques. À voir jusqu'au 9 juillet. Entrée gratuite.

Lisez l'article d'Éric Clément La Fondation Phi

Au cinéma : Frontières

Le quatrième long métrage de fiction du réalisateur Guy Édoin, Frontières, raconte l’histoire de Diane (Pascale Bussières) qui se sent constamment menacée depuis qu’un accident tragique s’est produit dans sa vie. Ses sœurs Carmen (Christine Beaulieu) et Julie (Marilyn Castonguay) viendront en renfort, en compagnie de leur mère (Micheline Lanctôt). « Frontières, qui emprunte la forme d’un thriller nourri d’anecdotes véridiques survenues dans la famille du cinéaste, se distingue grâce à cette façon d’explorer la notion de territoire sous toutes ses formes, physique et mentale. Marqué par une performance remarquable de Pascale Bussières, qui tient ici l’un de ses plus beaux rôles, Frontières ajoute une belle pierre à l’œuvre singulière que Guy Édoin est en train de construire », mentionne le journaliste Marc-André Lussier dans sa critique publiée le 3 mars

Lisez la critique de Marc-André Lussier Consultez l’horaire cinéma