Des voix discordantes commencent à se faire entendre chez les proches d’Eduardo Malpica alors qu’un peu plus de deux semaines après sa disparition, l’enquête de la Direction de la police de Trois-Rivières (DPTR) semble stagner. Deux lettres ouvertes allant en ce sens ont été rédigées par des amis et collègues de l’homme de 44 ans.

Dans une première missive destinée au corps de police trifluvien et écrite par des proches de l’homme, l’hypothèse que M. Malpica aurait volontairement décidé de ne plus rentrer chez lui est fortement remise en question.

Lisez la lettre destinée au Service de police de Trois-Rivières

PHOT SYLVAIN MAYER, LE NOUVELLISTE

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