Non loin d’une personne ayant contracté le variant Omicron sur deux développera des symptômes de COVID longue, selon une étude du Centre de recherche du CHUS (CRCHUS). Il s’agit de la première étude au Canada à se pencher précisément sur la prévalence des symptômes post-COVID-19 associés à ce variant qui a fait des ravages au début de l’année.

Sur les 290 Estriens à s’être prêtés à la recherche, 137 ont déclaré des symptômes plus d’un mois après l’infection, reflétant ainsi un taux de 47,2 %. Toutes ces personnes ont été désignées comme ayant été victimes du variant Omicron, car la proportion des cas de COVID qui était dus à ce variant au moment de l’étude (décembre 2021 à avril 2022) dépassait le 85 %.

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