Incendies de forêt, smog, pluies diluviennes, inondations, verglas, les catastrophes naturelles se sont multipliées en 2023, causant tant des drames humains que d’importants dommages matériels.

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En avril, le verglas s’est abattu sur Montréal et le sud du Québec, endommageant des milliers d’arbres et privant plus d’un million de foyers d’électricité. Le parc Laurier, à Montréal, n’a pas été épargné.

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Des enfants jouent dans un parc du secteur Sainte-Famille, à Sept-Îles, menacé d’évacuation en raison des incendies de forêt au début du mois de juin.

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Les incendies de forêt ont eu des impacts bien au-delà des zones brûlées. La fumée s’est fait sentir dans plusieurs villes beaucoup plus au sud, dont Montréal, Toronto et même New York. La vue du belvédère du mont Royal était particulièrement glauque à la fin du mois de juin.

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Cet autobus s’engouffre dans le viaduc de l’avenue De Lorimier sous la promenade Masson, à Montréal, complètement inondé à la suite de pluies diluviennes à la fin du mois d’août.

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Une crue historique, causée par la fonte des neiges et de fortes pluies, a ravagé Baie-Saint-Paul au début du mois de mai, causant d’importants dommages dans toute la région, emportant deux importantes routes et isolant des centaines de personnes.

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Quelques mois après un important incendie, la vie renaît tranquillement en octobre, sur le territoire exploité par la coopérative Boisaco sur la Côte-Nord.

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Une quarantaine de maisons de la communauté crie de Sturgeon Lake, en Alberta, ont été détruites par un incendie de forêt, en mai.

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Les crues printanières ont provoqué le débordement de la rivière du Nord dans les Laurentides, ce qui a obligé les pompiers de Saint-Colomban à utiliser une embarcation pneumatique pour visiter des sinistrés, en avril.

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Au début du mois de mai, la région de Lanaudière – et plus particulièrement Sainte-Émélie-de-l’Énergie – est touchée par la montée des eaux. Un glissement de terrain aux abords de la rivière Noire a menacé d’emporter cette maison.