Un pas en avant, deux pas en arrière
Je suis totalement contre ; un pas en avant, deux pas en arrière. Tout comme l’alcool, le tabac est nocif pour la santé, ça, on le sait. Alors, il faudra légiférer pour l’alcool aussi. À nous de sensibiliser nos jeunes avec des campagnes publicitaires sans relâche.
Céline Boissonneault
Pourquoi tergiverser ?
À l’instar de la Nouvelle-Zélande, interdisons tout simplement la vente de ce poison hautement addictif. Pour les fumeurs, le sevrage n’est qu’une question de semaines, après tout. La contrebande et le crime organisé existeront toujours et leur existence ne devrait pas nous empêcher d’adopter de saines mesures en santé publique.
Christian Castonguay
Rien à voir avec l’âge
L’attrait de la cigarette n’a rien à voir avec l’âge. On essaie à 15 ans pour se sentir grand et la nicotine nous convainc de continuer. On essaie à 25 ans dans un party et on trouve ça le fun, souvent sous l’influence d’un verre ou deux ! Ce qui importe, c’est à quel âge on arrêtera, avant ou après le cancer ! Du vécu…
Nicole Audette
21 %
Au lieu de mettre ça à 21 ans, montons le prix de 21 %, ça va être plus efficace.
Christian Livernoche
Favoriser les produits pour cesser de fumer
Je crois qu’augmenter l’âge pour acheter des cigarettes n’est pas une mesure suffisante. Augmenter le coût des cigarettes (comme dans d’autres pays dans le monde), rendre plus accessibles les produits pour cesser de fumer et interdire de fumer à l’intérieur en présence d’un enfant sont des mesures, selon moi, qui protégeraient davantage la population de ce fléau.
Brigitte Croteau
S’harmoniser avec la SQDC
Nous devons poursuivre la lutte contre le tabagisme, ce fléau de santé publique… une étape à la fois. Mais il faudrait aussi ajuster cette nouvelle mesure avec l’accès à la SQDC, pour des raisons évidentes. Signé une ex-fumeuse reconnaissante.
Michèle Fafard
Taxe santé
Oui à 21 ans. Et une taxe santé en fonction de l’augmentation des coûts de la santé au Québec.
Gérald Pilon
Se montrer convaincant
Il y a assez d’interdits… continuons avec ce que nous avons. Je suis non-fumeur et je tente de convaincre respectueusement ceux qui fument de cesser… Chez moi, fumer « quoi que ce soit » est interdit.
Claude Provencher
Un effet sur… la circulation
Je ne crois pas que de hausser à 21 ans l’âge pour fumer la cigarette légalement soit une bonne idée. Je demeure non loin d’un territoire autochtone, rempli de commerces de marijuana, et je peux vous dire qu’ils regorgent de jeunes venus se procurer ce que la SQDC leur refuse. Cela va seulement augmenter la circulation automobile dans mes environs !
Edith Lemery Frenette, Saint-Placide
Haro sur le contrôle
De grâce, ne donnez pas de nouvelles idées de contrôle de nos vies à la CAQ. Elle contrôle déjà plus qu’il en faut.
Alain Vachon
Oui, oui et oui
Je suis en Bretagne présentement et à ma grande surprise, il y a encore des cendriers sur toutes les tables des terrasses. Ma fille sort avec un Breton, et ses deux sœurs fument la cigarette ! De belles jeunes femmes dans la vingtaine diplômées universitaires ! Je n’y comprends rien. Alors, oui, 21 ans, SVP.
Lise Plante
Campagnes d’information
Je ne crois pas que l’âge minimum soit au cœur du débat. Je prône davantage les campagnes d’information qui expliquent les maladies et les risques pour la santé. Nos policiers ont assez de travail sans qu’on y ajoute les tâches d’identification des fumeurs. Tant que les produits du tabac seront légaux, la discrétion revient à l’utilisateur. La sensibilisation et l’information sont au cœur du succès. Je suis un non-fumeur, n’ayant jamais fumé de ma vie.
Jean-François Larente
La paix !
La majorité c’est 18 ans, alors ils sont majeurs, foutons-leur la paix.
Denis Desjardins
Du théâtre d’été
Ce serait la loi la plus imbécile que le Québec aurait votée. Loi inefficace et stupide. Les jeunes fument déjà du pot depuis 20 ans au moins. Je pense que ce serait une loi pour faire rire le monde comme dans une pièce de théâtre estival. Franchement, quel toto a pensé à ça ? Il n’avait sûrement rien à faire.
Claire Malo