Jusqu'au milieu des années 70, plus de 9 joueurs sur 10 dans la LNH étaient canadiens. La progression du hockey aux États-Unis et l'arrivée d'une vague de joueurs suédois ont marqué le début de l'internationalisation de la ligue, qui s'est accentuée avec l'invasion russe et tchèque ayant suivi la fin de la guerre froide.

Depuis quelques années, le Canada, après une chute marquée, fait du surplace, tandis que les États-Unis remportent la palme de la croissance.

L'an dernier, un nombre record de 215 hockeyeurs, près du quart (24,1%) de tous les joueurs, provenaient du pays de l'Oncle Sam, y compris d'États qu'on n'associe pas traditionnellement au hockey, tels la Floride, la Caroline-du-Nord ou le Texas.