L'appel avait été formulé par le président de la FIA, Max Mosley, précise le communiqué. M. Mosley avait usé de sa prérogative car il estimait trop clémente la décision du Conseil mondial.

L'appel avait été formulé par le président de la FIA, Max Mosley, précise le communiqué. M. Mosley avait usé de sa prérogative car il estimait trop clémente la décision du Conseil mondial.

Les audiences seront ouvertes à la presse, a précisé le communiqué.

Le 26 juillet, le Conseil mondial de la FIA, réuni à Paris en session extraordinaire, n'avait pas imposé de sanction à McLaren alors qu'il se déclarait «convaincu» que l'écurie avait eu à sa disposition des «informations confidentielles concernant Ferrari et a donc enfreint l'article 151c du Code sportif international.»

«Il n'y a pas suffisamment de preuves que ces informations aient été utilisées à l'encontre du règlement du Championnat du monde de F1 de la FIA. Nous décidons donc de n'infliger aucune pénalité», avait ainsi conclu le Conseil.