Entre 1987 et 1996, la puissance du moteur V6 de 3 litres est passée de 140 à 153 chevaux alors que le quatre cylindres de 2,4 litres a été abandonné en 1990. En 1997, la cylindrée du V6 a été augmentée à 3,3 litres pour une puissance 168 chevaux. Le même moteur a fait un gain de deux maigres chevaux en 2000, pour plafonner à 170. Finalement, les motoristes ont mis au point en 2001 un V6 de 3,5 litres, dont la puissance de 250 chevaux écrasait, à l'époque, toute concurrence.

D'ailleurs, la fiabilité mécanique du Pathfinder se classait au-dessus de la moyenne. Toutefois, si vous reluquez un modèle antérieur à cette génération, soit les modèles des années 1987 à 1999, faites vérifier la boîte automatique, qui a tendance à surchauffer lorsqu'elle est fortement sollicitée.

Entre 1987 et 1996, la puissance du moteur V6 de 3 litres est passée de 140 à 153 chevaux alors que le quatre cylindres de 2,4 litres a été abandonné en 1990. En 1997, la cylindrée du V6 a été augmentée à 3,3 litres pour une puissance 168 chevaux. Le même moteur a fait un gain de deux maigres chevaux en 2000, pour plafonner à 170. Finalement, les motoristes ont mis au point en 2001 un V6 de 3,5 litres, dont la puissance de 250 chevaux écrasait, à l'époque, toute concurrence.

De plus, le Pathfinder était l'un des rares véhicules de sa catégorie, sinon le seul, à offrir une boîte manuelle puisque le Toyota 4Runner V6 avait abandonné ce type de transmission en 2000. Malgré l'attrait d'une boîte manuelle à cinq vitesses, la plupart des Pathfinder vendus étaient équipés d'une boîte automatique à quatre rapports, et ce même si le moteur perdait 10 chevaux. Si les accélérations étaient moins vives lorsque le moteur était couplé à la boîte automatique, cette dernière offrait une capacité de remorquage accrue. Ainsi, la boîte manuelle devait se contenter de tracter 1588 kg alors que le poids de la remorque pouvait grimper à 2268 kg avec l'automatique.

Tous les Pathfinder à boîte manuelle étaient équipés d'un rouage qui permettait de sélectionner le mode deux ou quatre roues motrices à la volée. La boîte de transfert comportait également une gamme de vitesses basses. Quant aux modèles à boîte automatique, depuis 2001, les versions LE et SE (en option) avaient droit à un système de traction intégrale à sélecteur rotatif qui répartissait le couple aux roues ayant le plus de traction.

Si vous avez été impressionnés par le design intérieur des récents modèles Nissan, vous serez déçus par le tableau de bord qui n'a rien en commun avec celui de son frère Murano. En ce qui concerne le confort, les sièges avant offraient un bon maintien mais le dégagement pour la tête était limité par le toit ouvrant. Quant à la banquette arrière, celle-ci était difficile d'accès. Par ailleurs, compte tenu de l'étroitesse du coffre de chargement, il n'existait pas de troisième banquette.