Marc Messier est l'un de nos plus grands acteurs. BroueLa petite vieLes Boys et Lance et compte sont autant de succès colossaux auxquels il a participé. On peut le voir à l'oeuvre sur les planches dans la pièce La mort d'un commis voyageur. Comme plusieurs, il a aussi ses histoires d'amour-haine avec les voitures...

LA VOITURE QUI A MARQUÉ MON ENFANCE

« Une Meteor bleue 1953 que mon père s'était offerte. La première fois que j'y suis monté, c'était pour me rendre à l'hôpital afin de subir une opération, alors ça m'avait frappé. J'y étais resté cinq jours. Une nouvelle voiture demeurait un événement important, parce que mon père changeait de voiture aux sept ou huit ans seulement. Mon père a toujours eu des Meteor, un produit de Ford. »

MA PREMIÈRE VOITURE...

« J'ai acheté une Renault 12 grise usagée vers l'âge de 25 ou 26 ans, en 1975. Elle ne partait pas l'hiver et elle surchauffait l'été. J'ai acheté ça d'un monsieur très sympathique pour environ 800 $. Il n'était pas de mauvaise foi, mais elle m'a donné beaucoup d'ennuis. J'ai dû la garder un an ou deux. On devine pourquoi il n'y en a plus aujourd'hui... »

... ET MA PIRE VOITURE

« Vous aurez deviné que c'était la Renault 12. C'était ma première voiture, alors probablement aussi que je n'étais pas trop expert de l'entretien. Après, je n'ai plus jamais acheté de voiture usagée. Je me suis ensuite acheté une magnifique Honda familiale flambant neuf. »

MA VOITURE DE RÊVE

« Une Porsche Carrera décapotable bleu nuit. Mais je ne l'aurai jamais. C'est beaucoup trop cher. Je n'ai pas 120 000 $ à mettre sur un char. J'avoue aussi que je n'ai plus un aussi gros kick sur les voitures qu'à 40 ans. Je conduis quand même une BMW X5, mais je crois que c'est ma dernière voiture luxueuse. Je vais m'enligner plus sur des voitures confortables et pas nécessairement luxueuses. »