Chelsea et Manchester United ont chacun concédé le match nul à Aston Villa (0-0) et face à West Bromwich (2-2), samedi lors de la 8e journée du Championnat d'Angleterre, une opération bien plus dommageable pour les Reds Devils que pour les Blues.

C'est en effet le cinquième nul en huit matchs pour les hommes d'Alex Ferguson, à propos desquels on ne va pas tarder à parler de crise. Ceux de Carlo Ancelotti en revanche conservent leurs cinq points d'avance en tête de la Premier League.

Leur week-end ne sera toutefois considéré comme positif que si Manchester City ne s'impose pas dimanche à Blackpool. Une victoire permettrait aux Citizens de revenir à seulement deux longueurs.

Chelsea et Aston Villa ont chacun eu la balle de match dans les dernières minutes.

C'est Nicolas Anelka qui a gâché la première en piquant trop sa tête alors qu'il se trouvait idéalement placé à sept mètres sur un centre parfait d'Ashley Cole (89ième minute).

On jouait les arrêts depuis trois minutes quand Reo-Coker a mangé ce qui restait de la feuille de match en manquant le cadre, seul face à Cech, après avoir volé un ballon au tout jeune McEachran à 40 mètres du but.

Pour le nouveau manager Gérard Houllier, le rêve d'un premier succès de prestige sur le banc des «Villans» s'envolait.

Dans l'ensemble, ce sont bien les champions en titre qui ont dominé les débats, surtout en seconde période, et ce malgré une cascade de forfaits (Drogba, Alex, Kalou, Lampard, Benayoun, Sturridge) et qui peuvent nourrir quelques regrets.

C'est en effet le cinquième nul en huit matchs pour les hommes d'Alex Ferguson, à propos desquels on ne va pas tarder à parler de crise. Ceux de Carlo Ancelotti en revanche conservent leurs cinq points d'avance en tête de la Premier League.

Leur week-end ne sera toutefois considéré comme positif que si Manchester City ne s'impose pas dimanche à Blackpool. Une victoire permettrait aux Citizens de revenir à seulement deux longueurs.

Chelsea et Aston Villa ont chacun eu la balle de match dans les dernières minutes.

C'est Nicolas Anelka qui a gâché la première en piquant trop sa tête alors qu'il se trouvait idéalement placé à sept mètres sur un centre parfait d'Ashley Cole (89ième minute).

On jouait les arrêts depuis trois minutes quand Reo-Coker a mangé ce qui restait de la feuille de match en manquant le cadre, seul face à Cech, après avoir volé un ballon au tout jeune McEachran à 40 mètres du but.

Pour le nouveau manager Gérard Houllier, le rêve d'un premier succès de prestige sur le banc des «Villans» s'envolait.

Dans l'ensemble, ce sont bien les champions en titre qui ont dominé les débats, surtout en seconde période, et ce malgré une cascade de forfaits (Drogba, Alex, Kalou, Lampard, Benayoun, Sturridge) et qui peuvent nourrir quelques regrets.

Gâchis à Old Trafford

À Manchester United, c'est un sentiment de gâchis qui prédomine après un nul jugé «incompréhensible» par Ferguson.

Les Red Devils ont gaspillé en cinq minutes un solide avantage de deux buts creusé en première période par Hernandez (5) et Nani (25).

Evra a commencé par détourner dans la cage de Van der Sar un coup franc de Brunt (50). Puis le gardien néerlandais a offert l'égalisation à Tchoyi en lui remettant dans les pieds un centre aérien pourtant anodin (55).

Wayne Rooney n'est entré qu'à vingt minutes de la fin, sans pouvoir changer le cours du match. L'attaquant était de nouveau au centre d'une mini-polémique pour avoir laissé entendre que la blessure à la cheville qui l'avait privé des deux précédents matchs contre Valence et Sunderland était imaginaire.

En attendant le résultat de City, Arsenal et Tottenham sont les deux grands bénéficiaires de la journée.

Les Gunners ont mis fin à une série de trois matchs sans victoire en battant Birmingham à l'Emirates Stadium grâce à des buts de Nasri, sur un penalty contesté (41), et de Chamakh (47). Les visiteurs avaient ouvert le score par Zigic (33).

Menés aussi, les Spurs ont gagné l'un des nombreux derbys londoniens à Fulham 2 à 1 grâce à Pavlyuchenko (31) et Huddlestone (64).