Laurence Vincent Lapointe savait qu’elle aurait besoin d’une bonne pause après les Jeux de Tokyo, ne serait-ce que pour évaluer quelle direction emprunter en tant qu’étudiante et athlète d’élite.

« Mais c’est quoi, une bonne pause ? Est-ce que c’est deux ou trois semaines comme c’est souvent la norme dans le sport amateur de haut niveau ou est-ce plus long que ça ? » se questionne la double médaillée olympique en canoë-kayak, avant de répondre.

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