Nos journalistes commentent leurs choix de l’an dernier.

La Coupe Stanley : Golden Knights de Vegas

Mathias Brunet : Hurricanes de la Caroline

Ils ont terminé au deuxième rang du classement général et atteint le carré d’as. Je ne m’en veux pas trop…

Katherine Harvey-Pinard : Avalanche du Colorado

Une prédiction qui avait bien du sens. L’Avalanche a été vaincue par le Kraken au premier tour des séries, que voulez-vous. Et disons que rares sont ceux qui avaient prédit la Coupe aux Golden Knights !

Richard Labbé : Lightning de Tampa Bay

Je me suis trompé, mais je suis loin d’être le seul.

Guillaume Lefrançois : Hurricanes de la Caroline

À huit victoires d’avoir raison.

Simon-Olivier Lorange : Flames de Calgary

Une saison catastrophique, marquée par un entraîneur qui perd son vestiaire et des gardiens qui ne savent plus arrêter les rondelles. Je ne pouvais prédire pire.

Alexandre Pratt : Hurricanes de la Caroline

Ils se sont rendus en demi-finale. Ça reste une très belle équipe de hockey.

Le trophée Hart : Connor McDavid

Mathias Brunet : Connor McDavid

Un choix facile. Seul Simon-Olivier Lorange a voulu être original. Je le laisse se débrouiller avec ses troubles…

Katherine Harvey-Pinard : Connor McDavid

Bah oui, évidemment.

Richard Labbé : Connor McDavid

Une bonne prédiction ! Bon, tout le monde ici est tombé pile dessus… sauf une personne. Salutations distinguées à Simon-Olivier et à Kirill Kaprizov.

Guillaume Lefrançois : Connor McDavid

Ça prend quand même du cran pour prédire que le meilleur joueur de la LNH va gagner le Hart. Comme Barry Horowitz, je me donne une tape dans le dos.

Simon-Olivier Lorange : Kirill Kaprizov

Pouet pouet. Son rythme de croisière a diminué et il a raté 15 matchs. Il a néanmoins obtenu un vote de troisième place pour le trophée Hart – non, ce n’était pas moi.

Alexandre Pratt : Connor McDavid

Bingo.

Le trophée Norris : Erik Karlsson

Mathias Brunet : Cale Makar

Rien… sauf Erik Karlsson. Qui l’eût cru ? Mais amasser 66 points en seulement 60 matchs n’est pas honteux pour un défenseur…

Katherine Harvey-Pinard : Cale Makar

Makar a été limité à 60 matchs la saison dernière. De toute façon, il aura en masse d’autres occasions de remporter un deuxième Norris au cours de sa carrière. Primeur : mon vote ira à Makar encore cette année.

Richard Labbé : Cale Makar

J’exige un recomptage.

Guillaume Lefrançois : Cale Makar

Je demeure profondément en désaccord avec le choix d’Erik Karlsson comme gagnant du trophée, mais même s’il ne l’avait pas remporté, Adam Fox a aussi devancé Makar.

Simon-Olivier Lorange : Roman Josi

Sans connaître une mauvaise saison, il n’est jamais passé proche du Norris. Il a néanmoins été le meilleur pointeur des Predators de Nashville, un club en transition.

Alexandre Pratt : Adam Fox

Il a obtenu 41 votes de première place, et terminé deuxième au scrutin, derrière Erik Karlsson.

Le trophée Vézina : Linus Ullmark

Mathias Brunet : Juuse Saros

Saros a connu une bonne saison avec une fiche de 33-23-7 et un taux d’arrêts de ,919, mais son équipe était trop faible. Il a néanmoins terminé au quatrième rang dans les votes. Linus Ullmark, le gagnant, a été plus gâté à Boston.

Katherine Harvey-Pinard : Igor Shesterkin

C’était difficile pour Shesterkin de répéter les exploits de 2021-2022. Il a tout de même connu une bonne saison. Mais d’autres ont fait mieux.

Richard Labbé : Andrei Vasilevskiy

Qui aurait pu prédire que ce trophée allait aller à Linus Ullmark ? Personne, de toute évidence.

Guillaume Lefrançois : Igor Shesterkin

Shesterkin n’a obtenu que deux votes de troisième place au scrutin : un de sa mère et l’autre d’un certain Guillermo El Francesco, un journaliste bolivien méconnu des collègues.

Simon-Olivier Lorange : Ilya Sorokin

Il a terminé au deuxième rang du scrutin, derrière Linus Ullmark, intouchable.

Alexandre Pratt : Igor Shesterkin

J’hésitais entre Linus Ullmark et lui (mais non…).

Le trophée Calder : Matty Beniers

Mathias Brunet : Owen Power

J’ai raté les honneurs de peu. Power a terminé au troisième rang dans les votes derrière Matty Beniers et le gardien Stuart Skinner. Une saison de 35 points à son âge demeure encourageante pour la suite !

Katherine Harvey-Pinard : Matty Beniers

« Pas de doute qu’il s’établira rapidement comme un joueur clé à Seattle », écrivais-je l’an dernier, je le rappelle bien humblement. Beniers, tout premier choix au repêchage de l’histoire du Kraken, a été sensationnel avec 57 points en 80 matchs. Il a aidé l’équipe à atteindre les séries.

Richard Labbé : Owen Power

Bon, ça a l’air que tout le monde avait vu Matty Beniers, sauf deux personnes, dont moi. Il n’y a aucune excuse. Aucune.

Guillaume Lefrançois : Matty Beniers

Un autre pari audacieux que celui du deuxième choix du repêchage précédent. À Vegas, j’aurais fait un profit suffisant pour me payer une palette de chocolat.

Simon-Olivier Lorange : Matty Beniers

Ce n’était pas exactement une long shot.

Alexandre Pratt : Matty Beniers

Bingo (bis).

Le trophée Maurice-Richard : Connor McDavid

Mathias Brunet : Leon Draisaitl

Connor McDavid était trop fort. Il a marqué 64 buts et Draisaitl, 52.

Katherine Harvey-Pinard : Leon Draisaitl

Je me souviens d’avoir longuement hésité entre Draisaitl et Auston Matthews… Comme quoi, dans l’hésitation, il vaut mieux choisir Connor McDavid.

Richard Labbé : Auston Matthews

Matthews m’a laissé tomber. Il n’y a pas d’autre mot.

Guillaume Lefrançois : Auston Matthews

Il a fini à 24 buts du gagnant, Connor McDavid, un écart qu’il aurait FACILEMENT comblé s’il n’avait pas raté 8 matchs. Maudites blessures.

Simon-Olivier Lorange : Auston Matthews

« Seulement » 40 buts, mais en 74 matchs. Connor McDavid et David Pastrnak étaient dans une classe à part.

Alexandre Pratt : Connor McDavid

Et re-bingo. Jamais deux sans trois !