Je me souviens très bien de la dernière fois où j’ai croisé Anders Nilsson.

C’était un matin de semaine, en décembre 2019. Je consulte le calendrier. C’était probablement le jeudi 19. Les Sénateurs venaient de compléter un très léger entraînement matinal. Ils devaient affronter les Predators de Nashville, au Centre Canadian Tire, quelques heures plus tard.

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