(Denver) Un bon répit sera toujours plus profitable que nuisible — si rouille il y a, elle disparaîtrait dans les premiers instants d’une série.

C’est la vision des choses de Devan Dubnyk, le gardien réserviste de l’Avalanche.

Les Bruins sont également bien reposés.

Ces deux clubs ont vite accédé au deuxième tour, ce qui amène une longue pause avant de rejouer.

Boston sera opposé aux Islanders à compter de samedi — après cinq jours de répit, dans le cas des Bruins.

« Vous voulez toujours gagner une série aussi vite que possible, a dit l’entraîneur des Bruins, Bruce Cassidy. Ça enlève du stress. Je pense que les gars restent concentrés. Nous devrions bien nous en tirer. »

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Bruce Cassidy

Le Colorado va accueillir dimanche le Wild ou les Golden Knights, dont le septième choc aura lieu vendredi, à Las Vegas.

On parle ici de six jours de repos pour l’Avalanche.

« C’est un réel avantage », estime Dubnyk.

L’entraînement sur glace a d’ailleurs été souvent optionnel pour le club des Rocheuses, cette semaine.

Andre Burakovsky y voit une occasion de scruter les tendances des rivaux potentiels.

« C’est bien de voir leur style de jeu actuel et d’essayer de repérer de possibles failles », a dit l’attaquant autrichien.

« L’important est de rester alertes, a confié le défenseur Cale Makar. Il faut juste s’assurer d’être prêts et de garder une attitude de gagnants. »