Ça fait 37 ans, mais c’est encore très clair dans ma tête. J’ai revu le match du Vendredi saint, il y a quelques mois. J’ai trouvé ça dégueulasse. Ça n’avait ni queue ni tête. Une vraie disgrâce nationale !

La rivalité avec les Nordiques était intense. On n’aurait quand même jamais pensé qu’un jour quelque chose se produirait, comme ça.

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Propos recueillis par Sylvain St-Laurent