D'ordinaire, les joueurs profitent rarement de la semaine du Super Bowl pour faire de grandes révélations. Mais c'est en plein ce qu'a fait un joueur des Steelers cette semaine.

Le receveur Santonio Holmes, dans une entrevue accordée au journal Miami Herald, a avoué qu'il était un revendeur de drogue quand il était plus jeune. En cette semaine du Super Bowl plutôt tranquille à Tampa - en ce qui trait aux déclarations des joueurs, en tout cas - les paroles de Holmes ont provoqué quelques ondes de choc.

Tellement que le principal intéressé a dû revenir sur le sujet hier matin, lors du déjeuner d'équipe des Steelers.

«Puisque je suis sur cette grande scène du Super Bowl, les jeunes fans ont la chance de voir que je suis revenu de loin, a expliqué Holmes. Les jeunes peuvent mieux comprendre les épreuves que j'ai dû surmonter. Les jeunes savent qu'on peut changer dans la vie, et que tout est possible.»

Dans son entrevue avec le Miami Herald, Holmes, qui est né en Floride, racontait qu'il avait vendu de la drogue pendant une année lors de son adolescence, et que bien peu de gens étaient au courant.

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Ça y est, les fans des Steelers sont en ville. Depuis hier, on ne compte plus le nombre de chandails jaunes repérés dans les rues de Tampa, ce qui nous laisse croire que les Steelers vont être les favoris de la foule dimanche soir, lors du 43e Super Bowl.

En attendant le botté d'envoi, les membres des médias ont commencé à se poser la grande question: si les Steelers remportent leur sixième titre dimanche (ce serait une première dans la NFL), devrait-on les considérer comme la plus grande équipe de tous les temps, tous sports confondus?

Il nous reste encore deux jours pour penser à tout ça. Fait intriguant, les experts qui débattent de cette question par ici citent généralement les Yankees, les Celtics ou les Cowboys parmi les «rivaux» des Steelers à ce palmarès. Mais personne, ou presque, n'évoque le nom d'une certaine équipe de hockey qui joue à Montréal.

J'aimerais bien savoir ce qu'en pense George Gillett, mais paraît qu'il ne veut plus nous parler.

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J'ai eu la chance - pardon, le privilège - d'assister à la conférence de presse de Bruce Springsteen, hier après-midi. On dit que c'était la première conférence de presse du Boss depuis 1987. Il a attribué sa longévité au fait qu'il est encore vivant...

Et comme le hasard fait bien les choses, j'étais assis juste à la gauche de Miss America. Mais oui. Une fille de l'Indiana, tout ce qu'il y a de plus sympathique.

Mais vous savez quoi? Elle n'est même pas si belle que ça.