Une collection pour la mariée signée Noémiah
Cher amour – 2024, c’est le nom de la collection pour la mariée signée par la designer Noémiah (Noémie Vaillancourt), réalisée en collaboration avec la créatrice de contenu spécialisée en mode Joëlle Paquette (@veryjoelle sur Instagram). Composée de six pièces, la collection est le fruit d’une réflexion entre les deux amies qui se sont chacune récemment fiancées. « On se demandait quel genre de robe on aimerait porter pour notre mariage. Je dessine des robes de mariée depuis un an, et j’ai réalisé que lorsqu’on veut quelque chose de plus simple, il n’y a pas beaucoup de choix. Je viens du milieu du prêt-à-porter, j’ai un regard différent sur la robe de mariée classique ; il y a plein de façons de l’aborder et je me suis éloignée des styles plus traditionnels », explique Noémie Vaillancourt en entrevue.
Chaque robe est très différente : il y a la robe Rosie, plus courte, en taffetas de soie ; la robe Marina, faite de broderie anglaise de coton avec des manches bouffantes ; la robe Grace, confectionnée avec le point nid d’abeille (une technique utilisée en haute couture) – cette robe est une véritable « œuvre d’art », selon la créatrice. On trouve aussi un complet veste-pantalon fait dans une douce laine fluide et luxueuse, avec un petit détail : la veste est ornée d’une très belle boucle au dos.
« Nous sommes contentes d’avoir créé ce complet, on peut se marier en pantalon, et je pense que ce serait mon choix ! Il y a aussi des styles de robes de mariée qu’on pourra porter à nouveau même après le mariage. Pourquoi pas ! Chaque pièce est conçue avec des matières naturelles, ce qui est important pour moi. On a aussi créé des voiles, car les mariées aiment beaucoup ça ! Il y a quelque chose de tellement fort dans la création de robes de mariée, la mariée finit toujours par pleurer, c’est très émouvant. »
La collection Cher amour – 2024 sera offerte à partir du 13 février.
Consultez le site de NoémiahOlivia Lévy, La Presse
Le karabela haïtien défile
La beauté du karabela haïtien se déploiera lors d’un défilé de la marque Shiklèt, organisé le 24 février, dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs. Fondée par Samantha Cangé, Québécoise née de parents haïtiens, Shiklèt propose des vêtements pour femmes et enfants fabriqués en Haïti par des artisans. Toutes les pièces sont en karabela, un tissu chambray emblématique du pays, adopté vers les années 1940 par les paysans haïtiens et aujourd’hui associé au savoir-faire traditionnel. En plus du défilé, l’évènement présentera une exposition d’œuvres d’artistes d’origine haïtienne, une prestation de danse ainsi qu’une performance musicale de la chanteuse afro-caribéenne originaire d’Ottawa Jessie Simmons. La soirée aura lieu à l’Édifice Wilder, dans l’enceinte de l’Atrium et du Studio-Théâtre des Grands Ballets Canadiens.
Le 24 février à 16 h, à l’Édifice Wilder. Billets en vente au coût de 45 $.
Consultez le site de ShiklètValérie Simard, La Presse
Se libérer des étiquettes qui blessent
Emma Dunn, la propriétaire de Lingerie Emma, lance la campagne « Libérons-nous de nos étiquettes invisibles ». Dans une lettre ouverte cosignée par Kim Richardson, Marie-Claude Barrette, Saskia Thuot, Lulu Hughes et Tyo, elle déplore le fait que les femmes reçoivent des commentaires blessants et dégradants sur leur sensibilité, leur personnalité ou leur corps : trop émotive, trop grosse, trop vieille, trop ambitieuse, trop autoritaire, pas assez maternelle ou pas assez féminine. « Depuis 20 ans, un seul désir m’habite, mettre les femmes en valeur. La femme sous toutes ses coutures, peu importe qui elle est », écrit Emma Dunn. Cette dernière refuse de se faire catégoriser par une étiquette et invite toutes les femmes à afficher leurs mille et une facettes et à crier : « Je suis plus que ! Plus que la taille de mon pantalon, plus que la job que j’occupe, plus qu’un corps avec tout son vécu, plus qu’une épouse, une maman, une belle fille, je suis plus que ça ! »
Consultez le site de Lingerie EmmaOlivia Lévy, La Presse
Testé : Nettoyant énergisant
On aime beaucoup les duos de produits signés de la marque australienne Grown Alchemist, et le nouveau nettoyant énergisant accompagné de sa crème pour le corps ne fait pas exception. Pas particulièrement moussante, sa formule douce séduit surtout par son parfum subtil de camomille, de bergamote et de rose, qui laisse planer un je-ne-sais-quoi poivré qui fait penser au spa sous la douche. Accompagné de sa crème réparatrice pour le corps à base de beurre de karité et d’huile de jojoba, parfumée ici à la mandarine et à la feuille de romarin, il permet de chouchouter la peau à souhait de la tête aux pieds. Un joli cadeau unisexe à offrir, tout particulièrement par temps froid. À consommer avec parcimonie vu le prix !
38 $ le nettoyant, 59 $ la crème. En vente en ligne ou chez Sephora.
Consultez le site (en anglais) de Grown AlchemistSilvia Galipeau, La Presse