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Livøm, un nouveau concept de boutique

C’est un nouveau concept. Quand on entre chez Livøm, une odeur de bougie parfumée flotte dans la boutique, l’atmosphère est douce. Il y a des tables basses, des poufs, des chaises, des coussins. Des vêtements aussi, jeans, vestes, chandails, manteaux, pantoufles, foulards. Et on peut tout acheter. Même le tapis sur lequel nous marchons.

« On s’est dit que ce serait bien d’aller dans un magasin où tu peux acheter absolument tout ! On a décidé de marier meubles (30 %) et vêtements (70 %) dans le même univers. Par exemple, si tu es dans la cabine d’essayage et que tu aimes le miroir, tu peux repartir avec, tout comme la chaise, la bougie et les accessoires de décoration », explique Paule Lafrance, directrice artistique et marketing de Livøm, qui fait partie du groupe Marie Claire, une entreprise familiale. C’est d’ailleurs avec son père Sylvain Lafrance qu’elle a eu l’idée de ce nouveau concept. « Pendant la pandémie, on a réalisé l’importance du confort de la maison, l’importance d’être bien chez soi et avec soi-même. Livøm, ça veut dire vie (live) à la maison (Om) avec sérénité et bien-être. On s’est inspirés de l’esprit scandinave », indique Sylvain Lafrance, président du groupe Marie Claire.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Paule Lafrance, directrice artistique et marketing de Livøm, dans la boutique de Repentigny

En effet, la boutique nous fait penser au fameux hygge danois, un mode de vie où on crée une atmosphère chaleureuse, à la lueur de la bougie, où le confort est douillet. Les meubles ont des lignes épurées et les vêtements sont composés de matières et de couleurs très douces. « On établit les collections de vêtements de style loungwear en petit comité, on choisit des tissus confortables, on privilégie des matières recyclées et des fibres naturelles. Il y a des jeans, manteaux, pyjamas, sous-vêtements, vestes, chaussures, t-shirts, pantoufles, foulards, mitaines, sacs. L’offre va évoluer au fil des saisons. On cible les femmes de tous les âges, mais particulièrement celles dans la trentaine », explique Paule Lafrance.

Pour ce qui est des meubles et accessoires de décoration, certains sont faits de bois recyclé, d’autres de métal, et les poufs sont faits de laine et de coton. « On a fait un voyage au Maroc, on a été emballés par tout l’artisanat et le savoir-faire de ce pays, alors dans les prochaines acquisitions, on verra une influence marocaine. Dans le choix des coussins, des tapis et des vases en terre cuite », précise la directrice artistique.

Deux boutiques sont ouvertes, celles de Repentigny et de Saint-Hyacinthe. D’ici la fin de l’année, il y aura celles de Chicoutimi et de Sherbrooke. Et Montréal ? « Que ce soit dans les centres commerciaux ou ailleurs, j’attends de trouver le bon emplacement. C’est le secret de la réussite : le bon emplacement. Notre offre est différente, on vend un mode de vie et on espère lancer le concept à l’international », conclut Sylvain Lafrance.

Consultez le site de Livøm

Bonne cause : après « L’amour crisse », Humains solidaires

  • Guillaume Lambert

    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE PETITE GAZELLE ATELIER

    Guillaume Lambert

  • Ingrid Falaise

    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE PETITE GAZELLE ATELIER

    Ingrid Falaise

  • Patricia Paquin

    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE PETITE GAZELLE ATELIER

    Patricia Paquin

  • Mélissa Perron

    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE PETITE GAZELLE ATELIER

    Mélissa Perron

  • Audrey Simard

    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE PETITE GAZELLE ATELIER

    Audrey Simard

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Dans la foulée du projet « L’amour crisse », qui avait permis de verser 189 000 $ à la Maison Simonne-Monet-Chartrand, Petite Gazelle Atelier lance Humains solidaires, une collection de chandails à inscriptions dont une partie des profits de la vente sera remise à divers organismes. Quinze personnalités québécoises, dont Ingrid Falaise, Guillaume Lambert, Anaïs Favron, Alex Perron, Patricia Paquin ainsi qu’Abeille et Mitsou Gélinas, se sont jointes au projet en choisissant une cause qui leur est chère. À chaque cause est associée une inscription touchante, inspirante ou humoristique. Un don de 5 $ par t-shirt et 10 $ par chandail à capuchon sera remis à l’organisme correspondant (YWCA de Québec et Y des Femmes de Montréal, Fédération québécoise de l’autisme, Carbone boréal et Maison Jean Lapointe, entre autres).

Consultez le site web de Petite Gazelle Atelier

Collaboration : Leylah Fernandez chez BonLook

PHOTO FOURNIE PAR BONLOOK

La championne de tennis Leylah Fernandez lance une collection de montures de lunettes avec l’entreprise montréalaise BonLook. Elle est composée de deux montures qui se déclinent en plusieurs couleurs, inspirées de son parcours de joueuse de tennis. « Mon objectif personnel est que cette collection soit le reflet de mon sens de la mode et de l’amour que j’ai pour le design autant sur le terrain qu’en dehors », dit Leylah Fernandez dans le communiqué. La nouvelle collection Leylah Fernandez X BonLook est offerte en ligne et dans les 36 magasins BonLook du Canada. Les montures sont vendues à des prix qui se situent entre 149 $ et 179 $.

Consultez le site de BonLook

Nouveauté : mérinos pour tout-petits

PHOTO FOURNIE PAR TIMININOUS

Passe-montagne tricoté à la main, offert dans plusieurs tons neutres (69,99 $). Il est porté avec le haut évolutif molletonné (89,99 $) couleur « tofu ».

Sortir en pyjama ? C’est plus que jamais possible pour les enfants grâce à la nouvelle marque Timininous. Celle-ci, fondée par Marie-Renée Grondin, ancienne journaliste et attachée politique, est entièrement composée de pièces en laine de mérinos, fabriquées au Québec. C’est en parcourant le Portugal du sud au nord et en subissant de grands écarts de température que la femme d’affaires a eu l’idée de son entreprise. « J’étais constamment préoccupée par le confort de mon bébé », peut-on lire sur le site de Timininous. On sait que la laine de mérinos a des qualités thermorégulatrices. Les couches de base sont pensées pour être des sous-vêtements thermiques, mais aussi des pyjamas. Les couches intermédiaires, elles, peuvent être superposées à la base par temps froid ou revêtues seules. Comme on le sait, les petits ne portent jamais longtemps leurs vêtements. C’est pourquoi ceux de Timininous sont pour la plupart évolutifs, offerts en trois tailles (3 à 12 mois, 1 à 3 ans et 3 à 5 ans). Il suffit de rouler ou de dérouler manches et chevilles pour faire durer le confort. On aime beaucoup le mignon passe-montagne tricoté à la main, offert dans plusieurs tons neutres. Les mini-nous seront plus que jamais au chaud, au sec et au doux jusqu’à l’été prochain.

Consultez le site de Timininous