Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

The Hunger Games : The Ballad of Songbirds & Snakes : Amour, ambition et cruauté

« Un film consacré à la jeunesse du grand méchant des quatre volets précédents ? Le pari était audacieux, mais The Hunger Games : The Ballad of Songbirds & Snakes l’a relevé de belle façon. À un point tel qu’on estime qu’il est le meilleur de la série », écrit notre journaliste Pascal LeBlanc.

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Je verrai toujours vos visages : Le cercle

« Quiconque aurait des réserves quant à l’efficacité de la justice réparatrice pourrait bien les perdre en voyant ce bouleversant film choral où chaque acteur, magnifiquement mis en valeur par le regard empreint d’empathie de la cinéaste, joue sa partition à la perfection », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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May December : Les amours interdites

« Pour préparer un rôle inspiré d’une histoire vraie, une actrice rencontre la femme qu’elle va incarner à l’écran. Une femme d’âge mûr dont la liaison scandaleuse avec un garçon de 13 ans a enflammé la presse à sensation, 20 ans plus tôt », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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Bernadette : La revanche d’une blonde

« À la fois gentille satire politique, comédie féministe rose bonbon et film biographique ludique, Bernadette, premier long métrage de Léa Domenach, flirte allègrement avec la fantaisie et ne s’en cache pas », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Trolls Band Together : Un tour de chant étourdissant

« Si le film lui-même a des défauts, il a le mérite d’offrir aux enfants ce qu’ils veulent : des créatures mignonnes, des méchants qui n’en ont pas trop l’air, des blagues faciles à comprendre, le retour de Little Diamond et des interludes musicaux dansants », écrit notre journaliste Valérie Simard.

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Thanksgiving : Une dinde qui sent le réchauffé

« Ce qui intéresse Eli Roth – et les fans d’épouvante par la même occasion –, ce sont les scènes de carnage. Le cinéaste s’en donne à cœur joie, avec une bonne dose de sursauts, d’humour noir et de moments répugnants », écrit notre collaborateur Martin Gignac.

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