À compter du 1er décembre, la Cinémathèque québécoise consacrera un important cycle au cinéaste canadien David Cronenberg. Tous ses longs métrages seront pour l’occasion présentés, pour la majorité en 35 mm. Deux expositions consacrées à son art compléteront le cycle.

« L’œuvre de David Cronenberg est un cinéma de repli intérieur, où les êtres singuliers qui le composent ne cessent de montrer le monde sous un miroir déformant », suggère-t-on dans un communiqué de presse pour résumer son œuvre.

Le cycle commencera le 1er décembre avec la présentation de Stereo, film de 1969 campé dans un futur proche où des jeunes volontaires possédant des habiletés télépathiques sont amenés à participer à diverses expériences sexuelles.

Suivront 18 autres films de Cronenberg à voir jusqu’au 16 janvier. On pourra entre autres y voir ou revoir Crash, EXistenZ, Cosmopolis, Scanners, The Fly, The Naked Lunch, etc.

Deux expositions complètent le cycle. Du 9 décembre au 13 février, on verra House of Skin, une installation avec vidéo monumentale de l’artiste Sabrina Ratté librement inspirée de l’ambiance et des thèmes qu’explore Cronenberg dans son cinéma.

Et du 2 décembre au 6 février, l’exposition Parasites et dépendances sera consacrée à une série d’affiches, photographies et autres artefacts provenant des collections de la Cinémathèque québécoise consacrées au cinéma de Cronenberg.

Consultez le site de la Cinémathèque québécoise