Les attentes étaient élevées dans le cas de l’Aura. La Sky avait mis la table et la collaboration de la division européenne de GM, Opel, n’annonçait que de bonnes nouvelles. Mais sans savoir pourquoi, la Saturn Aura n’atteint toujours pas les objectifs de vente du constructeur. La direction a dû modifier le tir en introduisant des incitatifs quelques mois seulement après son lancement. Cette catégorie semble être boudée par les acheteurs des produits Saturn. De plus, la qualité de fabrication laisse à désirer sous plusieurs aspects, comme dans l’habitacle où on perçoit des craquements inhabituels.

North American Car of the Year Voilà qui n’a pas empêché quelque cinquante journalistes spécialisés d’Amérique du Nord de lui décerner le prestigieux prix de voiture de l’année lors du dernier Salon international de Détroit. Il est vrai qu’elle fait bonne impression la première fois qu’on l’aperçoit. Ses lignes sont modernes et sa carrosserie, bien proportionnée. C’est certainement beaucoup mieux que la défunte Série L, disparue depuis quelques années. Son habitacle est spacieux et offre plus de dégagement qu’il n’en faut, autant à l’avant qu’à l’arrière. La version plus luxueuse, équipée de sièges caramel, offre une ambiance haut de gamme étonnamment réussie. Même si la finition semble impeccable, les bruits de caisse apparaissent rapidement, signe que la conception de l’ensemble n’est pas parfaite. Et y a-t-il quelque chose de plus irritable que des bruits de frottement de plastique dans l’habitacle ?

Toute une amélioration En plus des deux moteurs six cylindres proposés l’an dernier, la Aura est aussi offerte en version XE équipée du moteur quatre cylindres Ecotec de 2,4 litres et du mode hybride. Nous n’avons pas eu la chance de faire l’essai de cette motorisation jusqu’à maintenant, mais en ce qui concerne les deux V6 de 3,5 et 3,6 litres nous n’avons que de bons commentaires. Le premier est couplé à une boîte quatre rapports tandis que le deuxième est plus moderne avec sa boîte six rapports. Il ne reste plus qu’à espérer que les problèmes de fabrication se règlent, et pour le constructeur, qu’elle gagne en popularité.

North American Car of the Year Voilà qui n’a pas empêché quelque cinquante journalistes spécialisés d’Amérique du Nord de lui décerner le prestigieux prix de voiture de l’année lors du dernier Salon international de Détroit. Il est vrai qu’elle fait bonne impression la première fois qu’on l’aperçoit. Ses lignes sont modernes et sa carrosserie, bien proportionnée. C’est certainement beaucoup mieux que la défunte Série L, disparue depuis quelques années. Son habitacle est spacieux et offre plus de dégagement qu’il n’en faut, autant à l’avant qu’à l’arrière. La version plus luxueuse, équipée de sièges caramel, offre une ambiance haut de gamme étonnamment réussie. Même si la finition semble impeccable, les bruits de caisse apparaissent rapidement, signe que la conception de l’ensemble n’est pas parfaite. Et y a-t-il quelque chose de plus irritable que des bruits de frottement de plastique dans l’habitacle ?

Toute une amélioration En plus des deux moteurs six cylindres proposés l’an dernier, la Aura est aussi offerte en version XE équipée du moteur quatre cylindres Ecotec de 2,4 litres et du mode hybride. Nous n’avons pas eu la chance de faire l’essai de cette motorisation jusqu’à maintenant, mais en ce qui concerne les deux V6 de 3,5 et 3,6 litres nous n’avons que de bons commentaires. Le premier est couplé à une boîte quatre rapports tandis que le deuxième est plus moderne avec sa boîte six rapports. Il ne reste plus qu’à espérer que les problèmes de fabrication se règlent, et pour le constructeur, qu’elle gagne en popularité.