Le plongeur olympique Alexandre Despatie copropriétaire d'une boîte de nuit au centre-ville de Montréal! Cette rumeur que je n'ai d'abord pas prise au sérieux n'a cessé de ressurgir autour de moi depuis les dernières semaines. Il y aurait quand même eu un communiqué de presse... ou tout au moins une soirée spéciale pour l'annoncer?!

Alors, pour en avoir le coeur net, j'ai décidé vendredi dernier d'envoyer un texto au principal intéressé, lui demandant de me rappeler le plus rapidement possible. Alexandre est un jeune homme sérieux, ponctuel et professionnel. Lorsqu'on lui laisse un message, il rappelle toujours, peu importe où il se trouve dans le monde.

Résultat: 20 minutes plus tard, mon cellulaire sonne et j'ai un Despatie en pleine forme au bout du fil. «T'es à Montréal?» lui ai-je demandé. «Pas vraiment, non!» m'a-t-il répondu avec un sourire dans la voix. «Je suis à Cuba, à La Havane, depuis une dizaine de jours pour un camp d'entraînement et pour prendre quelques jours de vacances. Je ne peux pas te parler longtemps.» Alors, allons droit au but: «Alex, peux-tu me confirmer que tu plonges dans le merveilleux monde de la nuit? J'ai entendu dire que tu serais copropriétaire d'un nouveau club au centre-ville.»

«Oui, c'est vrai, mais si tu veux en savoir plus, je te donne rendez-vous mardi 17 h au 1432, Crescent. Et apporte ta caméra, je te ferai visiter. J'en suis très fier...»

Après le Newtown à l'époque de Jacques Villeneuve, Alexandre Despatie va-t-il devenir à son tour le nouveau «King» de la rue Crescent à Montréal? Pour en savoir plus et l'entendre parler de son nouveau défi, rendez-vous sur cyberpresse.ca/despatie. D'autres photos sur herby.tv

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Alexandre Despatie dans le monde de la nuit

«À 25 ans, je pense déjà à prendre ma retraite et à ce que je vais faire après les J.O. de 2012.» Le plongeur est, depuis quelques semaines, copropriétaire de l'Impérial Room, rue Crescent. «J'ai eu une belle occasion de m'associer avec des amis qui ont une expérience dans les boîtes de nuit. Je peux m'absenter pour mes compétitions en toute confiance, car je sais que le club est entre de bonnes mains.»

Rassurez-vous, Alexandre n'abandonne pas pour autant sa carrière de plongeur olympique. Enfin, pas pour les deux prochaines années. Bien au contraire, il entre dans une grosse période préolympique avec les Championnats du monde en juillet à Shanghai, suivis d'un entraînement intensif pour les J.O. de Londres.

«Ça fait 22 ans que je plonge et j'en suis déjà à mes quatrièmes Jeux olympiques. Je pense sincèrement que ce seront mes derniers et après je prendrai sûrement ma retraite. Je suis en fin de carrière, je dois penser à mon avenir. En devenant dès aujourd'hui copropriétaire d'un club, j'apprends la gestion et l'organisation d'événements, ça va me servir plus tard, c'est sûr.»

Belle maturité pour ce jeune homme de 25 ans qui ne fait jamais les choses à moitié!

Voir l'entrevue vidéo sur cyberpresse.ca/despatie et sur herby.tv

Alexandre Despatie

Du Sénat aux Jutra

Si Luc Picard avait à choisir entre diriger Jean Lapointe en tant que réalisateur ou lui donner la réplique en tant qu'acteur, que ferait-il?

«Sans hésitation, je voudrais jouer à ses côtés. C'est comme jouer au tennis avec un adversaire de haut niveau. T'as pas le choix de renvoyer la balle si tu veux rester dans le jeu.»

J'ai eu l'occasion de partager un lunch avec ces deux grands hommes de talent mardi dernier, chez Milos, alors qu'on annonçait que l'on rendrait hommage à Jean Lapointe lors de la Soirée des Jutra, diffusée le 13 mars prochain à la SRC. Qui sera à la barre de l'animation? Un homme... une femme? La rumeur dit qu'il s'agirait cette année d'un couple...

Beaucoup de questions dont nous aurons les réponses très prochainement. Mais cette année, une chose est sûre, le nouveau président de la soirée, Luc Picard, est heureux de faire passer Jean Lapointe du Sénat aux Jutra.

Luc Picard et Jean Lapointe

Les confessions de Stephen Dorff

Lorsque je l'ai rencontré à Toronto pour la promotion du film Somewhere de Sofia Coppola, Stephen Dorff m'a avoué qu'il avait versé une larme lorsque la réalisatrice lui avait annoncé au bout du fil qu'il avait obtenu le rôle principal de son prochain film.

«J'ai raccroché et j'ai fondu en larmes. Cette merveilleuse nouvelle coïncidait jour pour jour avec le premier anniversaire de la mort de ma mère. J'avais l'impression plus que jamais qu'elle veillait sur moi.»

Effectivement, la mère de Stephen Dorff aurait été très fière de voir son fils loin des rôles de méchants qu'il a longtemps tenus au cinéma pour incarner un personnage plus près de lui: un acteur qui atteint enfin la maturité.

Stephen Dorff m'a fait d'autres confessions dans une passionnante entrevue offerte sur Herby.tv.

Stephen Dorff

Une belle année qui commence

François Papineau commence vraiment l'année en beauté. Il partage avec Julie LeBreton l'affiche du film Une vie qui commence, et on le verra plus tard cette année toujours en belle compagnie donner la réplique à Pascale Bussières dans Marécages, un film de Guy Édouin.

En plus du cinéma, Papineau sera présent au petit écran dans différentes séries télé mais, mardi soir dernier, lorsque je l'ai croisé, c'était sa première au théâtre qui le préoccupait.

Il sera la bête aux côtés de la belle Bénédicte Décary dans la pièce La belle et la bête, dès le 18 janvier, sur les planches du TNM.

Bref, un emploi du temps chargé pour François Papineau! D'ailleurs, il le dit lui-même à la blague en faisant référence au film de Michel Monty: «Pour moi, 2011, c'est une grosse année de vie qui commence.»

Julie LeBreton et François Papineau

Une nouvelle semaine québécoise à Paris

La semaine dernière, les animatrices Mélanie Maynard et Isabelle Racicot ont déménagé les caméras de leur émission Ça finit bien la semaine à Paris.

D'abord dans les coulisses de l'Olympia avec Véronic Dicaire et Wilfred LeBouthillier qui assurait sa première partie, puis, direction 9e arrondissement, au Palace, pour rencontrer Stéphane Rousseau qui terminait sa série de spectacles et Rachid Badouri qui débarquait pour la première fois sur une scène parisienne.

«La semaine dernière, on aurait bien pu se tromper et croire que c'était la semaine du Québec à Paris!» m'a dit Isabelle. Les deux animatrices nous reviennent avec de très beaux moments remplis d'émotions, que nous verrons au cours des prochaines semaines à l'émission Ça finit bien la semaine sur les ondes de TVA.

Mélanie Maynard, Stéphane Rousseau et Isabelle Racicot sur une terrasse du 9e arrondissement, à Paris.