(Montréal) À tout juste 50 ans, Nathalie Simard entreprend une nouvelle étape de sa vie de femme et de chanteuse. Ces derniers temps, on remarque de plus en plus sa présence à la télévision.

Plus rayonnante que jamais, elle se prépare à vivre un automne flamboyant.

Invitée à En direct de l’univers, on redécouvre la petite fille qui a charmé des générations d’enfants. Puis, à l’adolescence, la toute jeune fille du Village de Nathalie a poursuivi sur sa lancée et capté l’attention de près d’un million de téléspectateurs.

Avec René, son grand frère, les deux enfants issus de l’île d’Orléans auront vendu des albums par millions.

À elle seule, Nathalie aura vendu un million de disques en quatre ans.

Professionnellement, ce fut une époque glorieuse. Les années ont passé avec son lot d’événements heureux et malheureux. Aujourd’hui, Nathalie entreprend une nouvelle aventure.

Renouant avec la chanson qui demeure sa passion, elle amorce une tournée intitulée L’amour a pris son temps : 40 ans de carrière, dès octobre. D’ici là, on découvre les chansons qui l’ont accompagnée tout au long de sa vie. Ce samedi, 19 h, à Radio-Canada.

Une peine plus grande que soi

La mort d’un proche ou d’un enfant plonge la famille dans le deuil, un puits sans fond, une peine infinie qui draine toutes les énergies, un coup de masse qui foudroie même les plus forts. Il en est question à Unis TV, le lundi 30 septembre, 21 h, dans Les instants fragiles.

Le documentaire débute sur les paroles de Félix Leclerc : « C’est grand la mort, c’est plein de vie dedans ». La Faucheuse n’arrête jamais, elle a toujours quelqu’un dans son champ visuel. Suzanne et Bernard ont perdu Alexa, leur grande fille de 18 ans, dans un accident de voiture, il y a 23 mois. Ils font partie d’un atelier réunissant des personnes endeuillées qui expriment leurs sentiments et leurs émotions parce que les amis et collègues préfèrent éviter le sujet. Et pourtant, il faut pouvoir évacuer toute cette tristesse, cette lourdeur qui les accable.

La mort d’un enfant se solde souvent par la vente de la maison et dans plus de 50 % des cas, par une séparation des parents. Il y a des jours plus pénibles que d’autres, chacun vit son deuil à sa façon, il n’y a pas de recette. Mais en ce qui concerne la perte d’un enfant, l’apprentissage de l’absence, c’est pour toute la vie.

Aznavour à jamais

Il est décédé le 1er octobre 2018, à l’âge de 94 ans, après 70 ans de carrière. Auteur de centaines de chansons, la plupart inoubliables, traduites en huit langues, Charles Aznavour se passionnait pour la photo. À Doc humanité, les samedis 28 septembre et 5 octobre, 22 h 30, à Radio-Canada, on revoit différents moments de sa vie à travers les photos qu’il aura captées au fil des ans. Il aura vécu à fond et jusqu’au bout, puisque des spectacles étaient à son agenda dans les mois à venir. Il disait que d’arrêter de chanter l’aurait fait mourir.