Ledinsky n'est sans doute pas le seul artiste à qui Donald Trump inspirera une chanson cette année, mais sa DonaldTrumpMakesMeWannaSmokeCrack ne devrait pas passer inaperçue.

Le Suédois établi à Los Angeles explique que sa protest song accrocheuse, dans laquelle il dit que Trump l'incitera peut-être à déménager au Canada pour y rester, parle moins du candidat républicain à la présidence des États-Unis que de son amour pour l'Amérique: «Donald Trump est un symbole de régression dans l'obscurité [...]. Jadis, la frontière était le Far West, puis la Lune... Maintenant, c'est un mur.»

Ledinsky a écrit cette chanson le 14 juin et il allait l'envoyer uniquement à des amis quand Nadya, du groupe russe Pussy Riot, lui a conseillé de la diffuser pour un plus vaste public.