À l’extrémité est de l’île de Montréal se trouve le parc-nature de la Pointe-aux-Prairies. Notre photographe a croqué sur pellicule plusieurs recoins de ce vaste espace vert de 261 hectares situé tout près du fleuve.

La démarche de notre photographe : 

Résidant de Pointe-aux-Trembles, notre photographe a pris l’habitude d’aller marcher dans le parc-nature de la Pointe-aux-Prairies avec son chien, à longueur d’année. Avec le temps, il s’est aussi mis à photographier le parc en toute saison. Voici un aperçu de ce qui se trouve sur sa pellicule hiver comme été, automne comme printemps.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

L’accès au fleuve est facile au sud de la rue Notre-Dame. À cet endroit, la lumière de fin de journée crée des ombres intéressantes.

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Une population d’une trentaine de cerfs de Virginie occupe le territoire du parc. Ce nombre est considéré comme élevé par la Ville de Montréal.

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Les ratons laveurs cohabitent avec les cerfs de Virginie sur le territoire du parc.

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Lumière d’automne en fin de journée

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La construction d’une passerelle et d’une plateforme d’observation du marais a été achevée à l’automne 2018 dans le secteur du bois de l’Héritage. Les sentiers d’hiver sont fréquentés par des adeptes du vélo à pneus surdimensionnés.

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Le fils du photographe remonte la butte pour la glissade hivernale jouxtant le chalet d’accueil Héritage.

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Lumière matinale dans le secteur du fleuve par un matin de grand froid.

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Une voie ferrée du CN traverse le secteur du Fleuve. Lors d’un épisode de verglas à la fin de l’hiver, les lumières du passage à niveau donnaient un aspect surréaliste à la scène.

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Au printemps, la verdure reprend rapidement sa place.

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Henri, le chien braque hongrois du photographe, pose pour une scène typique du printemps dans le parc-nature.

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Réflexions printanières dans le secteur du Fleuve.