Oubliez les effets spéciaux à la Mario Tennis Ace ou Golf : Super Rush, Nintendo Switch Sports utilise à plein les possibilités des Joy-Cons pour vous plonger avec réalisme dans six sports.

Nintendo Switch Sports

Comme pour Wii Sports sorti en 2006, on utilise une ou deux manettes pour simuler les gestes de bras qui vont se répercuter à l’écran. On a conservé deux des jeux originaux, le tennis et le bowling, auxquels on a ajouté le soccer, le badminton, un jeu de sabre appelé chambara et le volleyball. Et ça fonctionne étonnamment bien, avec une possibilité de quatre joueurs en mode local ou en ligne. Rien de révolutionnaire ici, mais on est revenu à l’essentiel, sans animations déjantées.

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PS5

IMAGE FOURNIE PAR SIE

LA PS5 offre maintenant le « taux de rafraîchissement variable », mieux connu sous son sigle anglais VRR.

Les inconditionnels du jeu vidéo ont droit à une nouvelle aptitude de la PS5, annoncée par Sony à la fin d’avril et qui est maintenant offerte dans 15 jeux. Cette console nouvelle génération offre maintenant ce qui était réservé aux Xbox Series X/S, le « taux de rafraîchissement variable », mieux connu sous son sigle anglais VRR. Cette technologie assure que la fréquence des images sorties de la console s’ajuste parfaitement à celle de l’écran, entre 48 et 120 Hz pour la PS5, ce qui évite des soubresauts agaçants. La différence est subtile, mais nous avons constaté une meilleure fluidité dans deux des jeux améliorés, Resident Evil Village et Spider-Man Miles Morales, surtout dans les scènes d’action rapide.

Lisez le billet de blogue de PlayStation (en anglais)

Réseaux sociaux

CAPTURE D’ÉCRAN

L’Union européenne a annoncé le 23 avril un accord pour l’implantation du Digital Service Act, qui impose des obligations aux plateformes comptant plus de 45 millions d’utilisateurs actifs.

Au moment où l’achat de Twitter par Elon Musk suscite l’inquiétude, une initiative européenne vient rappeler que les États ont la capacité juridique d’encadrer les réseaux sociaux. On a annoncé le 23 avril un accord pour l’implantation du Digital Service Act, qui impose des obligations aux plateformes comptant plus de 45 millions d’utilisateurs actifs et qui pourrait valoir aux contrevenants des amendes pouvant aller jusqu’à 6 % de leurs revenus. Cette loi vise à lutter contre les contenus haineux et la désinformation selon un principe simple : « Ce qui est illégal hors ligne doit également être illégal en ligne. » Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et TikTok feront l’objet d’un audit une fois par année.

Lisez l’article du quotidien Le Monde