Un ancien conseiller culturel, qui était en poste à Kandahar, affirme que des Afghans innocents pourraient avoir été identifiés par erreur comme étant des insurgés talibans et envoyés en prison en raison d'erreurs commises par des interprètes militaires canadiens. Les commandants et les troupes au sol sont souvent à la merci de leurs interprètes, qui leur fournissent des traductions orales et écrites des deux langues officielles de l'Afghanistan, le dari et le pashto.