Des symboles de science-fiction? On pense tout de suite à rayons laser, effets spéciaux, bonshommes verts et autres Avatar... Mais pourquoi ne pas voir la science-fiction en tant que société abrutissante et contrôlante?

C'est ce que propose la Cinémathèque québécoise avec Dystopia, une micro-programmation consacrée à la place de l'humain et de l'individu dans les sociétés sous surveillance. Composée de sept films, celle-ci aura lieu du 8 janvier au 2 avril. Le tout commence le samedi 8 janvier à 19h avec 1984, adaptation du roman de George Orwell par le réalisateur Michael Radford. Suivront Born in Flames de Lizzie Borden le 22 janvier, Until the End of the World de Wim Wenders le 29 janvier, Kamikaze 1989 de Wolf Gremm le 5 février, La mort en direct de Bertrand Tavernier le 12 février, Apocalypse 2024 de L.Q. Jones le 5 mars et Alphaville de Jean-Luc Godard le 2 avril. À noter que tous les films sont présentés les samedis à 19h à la salle Claude-Jutra.

Site de la Cinémathèque: www.cinematheque.qc.ca