Le président de la prestigieuse société automobile Ferrari a récemment déclaré à un hebdo allemand que pour la marque au cheval cabré, «une solution hybride s'en vient».

Il n'en fallait pas plus pour soulever l'intérêt de la planète écolo, et pour instantanément lancer une polémique dans les médias spécialisés.

 

Car chez Ferrari, on a d'abord affirmé que la publication allemande avait mal cité Amedeo Felisa, et qu'il n'avait jamais utilisé le terme «hybride».

 

Par la suite, on a plutôt précisé qu'il a bel et bien dit «hybride», mais pas dans le sens où on l'entend, «dans le sens d'une Toyota Prius».

 

Ferrari, qui doit créer un système de récupération de l'énergie perdue lors du freinage pour ses bolides de Formule 1, admet que ce type de technologie pourrait éventuellement être mis en marché, mais que c'est le plus près d'une voiture hybride qu'elle osera jamais aller.