La société Bratz n'a pas obtenu la motion d'urgence, qui aurait forcé Lady Gaga à approuver une nouvelle ligne de poupées à son effigie.

La chanteuse, son management et les services de délivrance de permis avaient reçu une demande de 10 millions de dollars pour rupture de contrat par la firme MGA Entertainment, parce que la chanteuse aurait créé des délais dans la fabrication de la poupée parce qu'elle demandait sans cesse à ce que le jouet soit mieux fini.

Le 25 juillet, les responsables de la société Bratz étaient devant la cour de New York pour demander à ce que la chanteuse intervienne vite, mais cette demande a été refusée par Jeffrey Oing, et une nouvelle audience est prévue pour le 29 août. Le porte-parole de la chanteuse a confié au New York Post que «Lady Gaga est heureuse.»