La semaine dernière, Lynda Thalie a réalisé un de ses plus grands rêves: monter sur la scène de l'Olympia de Paris.

La chanteuse d'origine algérienne se pince encore à l'idée d'avoir fait la première partie d'Enrico Macias, son idole d'enfance qu'elle peut maintenant considérer comme un très bon ami.

Pendant quatre soirs, accompagnée de trois musiciens, elle a donné une prestation solide d'une demi-heure qui a su séduire le public parisien d'Enrico, mais également le grand Michel Drucker.

Le populaire animateur français est même venu la féliciter en coulisses après le spectacle. Gageons que les Français n'ont pas fini d'entendre parler de Lynda Thalie, car on le sait, si Drucker aime un artiste, la France entière ne tarde pas à suivre.



Pari gagné pour Lynda Thalie

Après avoir séduit le public de l'Olympia, Lynda Thalie poursuit sa carrière en sol québécois. La chanteuse aura un mois plutôt chargé!

Le 14 avril prochain, Lynda donnera un spectacle pour un soir seulement au Centre Segal des Arts de Montréal et dans la même semaine, elle sortira son autobiographie qui a pour titre Survivre au naufrage.

«Je suis fière de dire que j'ai écrit moi-même les 415 pages de ce livre. J'y parle bien sûr de mes origines algériennes, mais aussi de ma vie au Québec, des accommodements raisonnables, de la laïcité et de la situation de la femme musulmane en 2011», dit-elle.

Lynda Thalie vous invite à venir discuter avec elle au Salon du livre de Québec les 16 et 17 avril prochain.

Lynda et Michel Drucker

Villeneuve, Côté et Bilodeau au MOMA

Lors d'une soirée donnée par John Parisella, délégué général du Québec à New York, Emmanuel Bilodeau et sa fille Philomène, Denis Côté et Denis Villeneuve étaient à l'honneur vendredi soir dernier.

Curling et Incendies étaient les deux seuls films à représenter le Canada au prestigieux festival New Directors, New Films de New York.

Les projections ont eu lieu dans les salles de cinéma du MoMA (Museum of Modern Art), où Emmanuel et sa fille Philomène, qui visitaient New York pour la première fois ensemble, ont pu admirer les plus beaux tableaux exposés.

Bref, un petit détour dans la Grosse Pomme en pleine campagne promotionnelle du film Le colis (sortie en salle demain).

Du beau monde pour un beau livre



C'est probablement le livre sur le hockey qui me parle le plus puisque les statistiques laissent ici place à l'esthétisme.

Comme moi, mon collègue de La Presse, Richard Labbé aime les beaux objets. Il avait donc choisi le magnifique salon très Pop-Art de l'hôtel Love de la rue Saint-Jacques à Montréal pour lancer son livre Masques.

«L'idée de ce livre est née d'un sujet que je chéris depuis longtemps: la symbolique du masque de hockey et le lien qui existe entre le gardien et cette pièce d'équipement très personnelle et indispensable», m'a expliqué Richard.

Paul Doucet et son fils Jérémie, 9 ans, véritable fan de hockey, étaient venus saluer l'auteur et journaliste sportif: «Je sais que c'est de hockey dont il est question dans ce livre, mais c'est pour un tout autre sport que je lis le plus souvent Richard, puisque grâce à lui, j'ai déjà gagné plusieurs pools de football américain!» m'a dit à la blague Paul Doucet.

Richard Labbé (à droite), Paul Doucet et son fils.

Martin Matte a de bonnes raisons de sourire



«Ce bonhomme-sourire à l'envers, c'est comme pour dire que même quand la vie bascule, il y a encore de l'espoir», m'a dit Martin Matte lors de la conférence de presse qui précédait un souper spectacle-bénéfice privé de Ginette Reno et Jean-Pierre Ferland mardi soir.

L'événement qui avait lieu au complexe Ex-Centris de la rue Saint-Laurent a lancé officiellement la première campagne majeure de financement de la Fondation Martin Matte.

L'humoriste souhaite amasser 3,7 millions de dollars pour les victimes de traumatismes crâniens et nous a révélé qu'il a déjà atteint 75 % de son objectif.

Devant le logo de sa fondation, Martin Matte a donc toutes les raisons de sourire. Bravo!