L’hôtel des oiseaux, Joyce Maynard
On dit de ce nouveau titre de l’Américaine Joyce Maynard qu’il est l’un de ses plus grands. Difficile de trancher tant chacun de ses romans qu’on a lus nous a bouleversée à des niveaux différents. Dans celui-ci, une héroïne marquée par la mort tragique de sa mère quand elle avait 6 ans tente de se reconstruire à l’âge adulte, essuyant de nouveaux revers qui mettront sa résilience à rude épreuve.
L’hôtel des oiseaux
Philippe Rey
526 pages
La poupée, Yrsa Sigurdardóttir
Cinquième enquête avec le policier Huldar et la psychologue pour enfants Freyja, ce polar islandais continue de nous entraîner dans les zones d’ombres de la petite nation insulaire, alors qu’une poupée retrouvée dans un filet de pêche mène les autorités vers une sombre histoire de sévices sexuels sur mineurs.
La poupée
Actes Sud
400 pages
Et moi, je me contentais de t’aimer, Rosella Postorino
L’autrice italienne, qu’on avait découverte avec l’envoûtant roman La goûteuse d’Hitler, nous entraîne ici à Sarajevo, en 1992, sur les traces d’Omar, un garçon de 10 ans qui attend que sa mère revienne. Mais la guerre l’entraîne jusqu’en Italie, où il connaîtra les blessures de l’exil. Un roman poignant qui a été très remarqué.
Et moi, je me contentais de t’aimer
Albin Michel
432 pages
L’ombre d’un grand oiseau, Catherine Poulain
Celle qui a signé Le grand marin, où elle racontait son expérience hors du commun sur un bateau de pêche en Alaska, revient sur son enfance dans les Alpes, dans les années 1960, ses errances solitaires dans la nature et ses découvertes auprès des animaux sauvages. Une prose poétique, empreinte de sensibilité.
L’ombre d’un grand oiseau
Arthaud
192 pages
Glory, Noviolet Bulawayo
Finaliste du Booker Prize, ce roman d’une autrice née au Zimbabwe et installée aux États-Unis raconte l’histoire d’un pays imaginaire où tous vivaient heureux – jusqu’à l’arrivée des colonisateurs. Une fable satirique et enlevante, qui nous fait découvrir une nouvelle voix.
Glory
Autrement
464 pages