Mauvaise conduite Votre joueur préféré de l’histoire de l’Impact : vos réponses

Le joueur de l’Impact qui m’a le plus marqué est Laurent Ciman. Son histoire qui l’a poussé à venir ici au Québec, son rôle de général en défense centrale, son départ du club puis son retour dans l’équipe technique sont tous des éléments qui nourrissent mon admiration. J’ai des souvenirs clairs de lui alors que j’étais au stade, il passait le match à contrer les attaques adverses pour jaillir en fin de partie sur un corner et faire gagner le club ! Le Général sera toujours mon numéro 1.

Sans aucune hésitation, c’est Nacho Piatti. Sa présence sur le terrain assurait la possibilité de victoire pour l’Impact. Peu de joueurs m’ont fait vibrer autant au soccer professionnel à Montréal.

Dans la durée, Nacho Piatti : combien de fois a-t-il mis le feu au stade avec ses montées sur le flanc gauche ? C’était l’homme des grandes occasions. Mentions spéciales à Marco Di Vaio, pur buteur qui jouait toujours à la limite du hors-jeu créant la tension, et Laurent Ciman, grand général de la défense sauvant la mise maintes fois.

Spontanément je dirais Didier Drogba et Patrice Bernier. Drogba pour son art sur le terrain. Bernier pour sa prestance, notre capitaine immortel de l’Impact. Si on me demande qui est ma personne préférée chez l’Impact, alors là c’est évident : Mauro Biello. Quel joueur, mais aussi quel coach ! Le meilleur… après Wilfried Nancy.

Marco Di Vaio. C’est celui dont je me souviens le plus. Les souvenirs étant devenus un peu flous avec le temps, ils sont toutefois précieux, mais je me souviens que c’était pour moi comme un magicien. C’était le premier joueur de ce calibre à rejoindre l’Impact en MLS et il a compté quelques bijoux de buts lors de son passage avec le club.

Je vous dirais que mon joueur préféré a été Saphir Taïder. Très talentueux, toujours partout et du caractère ! Petite anecdote, mes filles ont fait ressortir une photo que j’avais prise de nous deux et l’ont mise sur mon gâteau d’anniversaire. Je peux vous dire qu’il n’était pas question de manger l’image. Jusqu’à ce que mon mari se tanne et nous dise, ça suffit, ça va pourrir !

Mon joueur préféré : Justin Mapp. Ses dribles, ses courses qui déstabilisaient la défense adverse, son accélération, ses passes précises, ses boulets venus de nulle part. Bien que les blessures l’aient ralenti, il est demeuré un des favoris des partisans qui célébraient chacune de ses présences sur le terrain. Il a gardé des liens permanents avec Montréal : son ex-conjointe et son fils y vivent. Un autre inoubliable : Mauricio Vincello. Un joueur qui opérait sur deux modes : horrible ou spectaculaire. Rien entre les deux. Un joueur bouillant, extraverti, qui pouvait changer l’allure d’un match à lui tout seul, pour le meilleur ou pour le pire.