L'écurie s'efforce «d'offrir un traitement juste et équitable aux deux pilotes», qui se disputent le titre de champion du monde de F1 à six courses de la fin de la saison, indique Dennis, niant toute conspiration en faveur du jeune pilote anglais.

L'écurie s'efforce «d'offrir un traitement juste et équitable aux deux pilotes», qui se disputent le titre de champion du monde de F1 à six courses de la fin de la saison, indique Dennis, niant toute conspiration en faveur du jeune pilote anglais.

Il reconnaît toutefois qu'au sein de l'écurie anglaise, il y a «une majorité de gens qui sont très orgueilleux de Lewis», en tête actuellement du Championnat, et admet des «sentiments quasi paternels» envers l'Anglais, qu'il connaît depuis l'âge de 10 ans.

Concernant Alonso, engagé jusqu'en 2008 avec McLaren, il assure qu'il n'y a pas de «problèmes contractuels». Ajoutant toutefois qu'à la fin de la saison «si c'est nécessaire, nous parlerons de l'avenir».

Le double champion du monde espagnol, dans des déclarations publiées samedi par certains médias espagnols, affirme qu'il «ne sait pas où il va courir en 2008», alors que de multiples spéculations sur son avenir entourent sa rivalité avec Hamilton.

L'écurie anglaise avait affirmé vendredi, alors que débutaient les essais du Grand Prix de Turquie à Istanbul, que les deux pilotes avaient enterré la hache de guerre, à la suite d'un entretien «constructif et positif».

Ron Dennis reconnaît dans son interview que la rivalité entre les deux pilotes est «féroce». Il indique que dans la dernière partie de la saison, il leur accordera une «plus grande liberté dans leur stratégie», pourvu que ce ne soit pas au détriment de l'équipe.