«Nous sommes tous deux très compétitifs et nous nous respectons. Nous sommes tous deux ambitieux et voulons gagner. Mais nous ne sommes pas des pilotes en guerre», a affirmé Hamilton, vainqueur dimanche dernier du Grand Prix de Hongrie après qu'Alonso a été privé de pole-position pour avoir retardé son coéquipier dans les puits, au cours des qualifications.

«Nous sommes tous deux très compétitifs et nous nous respectons. Nous sommes tous deux ambitieux et voulons gagner. Mais nous ne sommes pas des pilotes en guerre», a affirmé Hamilton, vainqueur dimanche dernier du Grand Prix de Hongrie après qu'Alonso a été privé de pole-position pour avoir retardé son coéquipier dans les puits, au cours des qualifications.

«Même si nous ne nous étions pas adressés la parole dimanche, depuis on s'est reparlé et on continue à avoir des relations professionnelles. Au fait, Fernando et moi avons prévu de nous rencontrer pendant les vacances», a ajouté

Hamilton, 22 ans, est le meneur du Championnat du monde.

Pour sa part, McLaren a réfuté l'information selon laquelle Hamilton aurait lancé par radio le mot «put...» à son patron Ron Dennis à la fin des qualifications.

«Après enquête, nous pouvons confirmer de manière catégorique que Lewis n'avait pas prononcé, à aucun moment, le mot «put...», a précisé l'écurie.

À six Grands Prix de la fin du Championnat, Hamilton est en tête du classement des pilotes avec sept points d'avance sur Alonso, 20 sur Kimi Raïkonnen et 21 sur Felipe Massa, tous deux sur Ferrari.