Dimanche dernier, nous vous avons demandé quel cadeau de Noël lié aux sports vous rêveriez de recevoir. Voici quelques-unes des réponses que nous avons reçues.

Je rêve d’assister à un match sur le fameux court central de Wimbledon. Un temple du tennis et haut lieu de finales historiques. Qu’on pense à Borg-McEnroe, Edberg-Becker, et peut-être le plus grand match de l’histoire, Federer-Nadal en 2008. J’ai assisté au US Open et aux Internationaux d’Australie, il me reste Roland-Garros et Wimbledon pour compléter mon pèlerinage.

Alexandre Péronne

PHOTO FRANK LENNON, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

Le but vainqueur de Paul Henderson lors de la Série du siècle

La rondelle du but gagnant de Paul Henderson qui mettait fin à la Série du siècle de 1972. Seule fois où j’ai raté l’école sans être malade grâce au billet obligatoire signé par ma mère, en accord total avec mon geste.

Raymond Deneault

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Le Centre Bell

Quatre places dans une loge pour un match du Canadien avec mon conjoint et mes deux fils. Une sortie que l’on s’offrirait en quatuor depuis le décès de notre cadet Max. On rirait comme avant, on mangerait des hot-dogs et on souhaiterait voir le Canadien compter !

Sylvie Hunter

PHOTO RUSTY KENNEDY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

Rick Monday

J’aimerais recevoir le bâton avec lequel Rick Monday a cogné son coup de circuit contre Steve Rogers en 1981. J’étais chez le dentiste avec ma mère et tout le monde au cabinet écoutait le match à la radio. Après le circuit, mon dentiste Harry a fermé la radio et m’a fait un plombage. Je n’ai jamais eu aussi mal. Mon vrai cadeau serait de brûler le bâton dans le foyer en écoutant Blue Christmas en boucle.

Martin Boyer

PHOTO ADRIAN DENNIS, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Félix Auger-Aliassime

Étant fan de tennis depuis toujours et ayant vu jouer tous les grands joueurs depuis Rod Laver, j’aimerais simplement pouvoir me retrouver sur la ligne de fond d’un court de tennis et essayer de retourner un seul service de Félix Auger-Aliassime. J’espère que le père Noël lira ce souhait et organisera la rencontre avec FAA…

Michel Jacques

PHOTO MIKE SEGAR, ARCHIVES REUTERS

L’Augusta National

Assister à la dernière ronde du Tournoi des Maîtres, à l’Augusta National, un parcours mythique s’il en est un, et voir s’exécuter la crème de la crème des golfeurs professionnels.

Claude Laporte

J’ai joué 40 ans au soccer, entraîné et arbitré ce sport. J’aimerais recevoir un billet pour une finale de la Coupe du monde comme cadeau. J’ai eu la chance d’assister à deux matchs à Londres et je ne peux qu’imaginer l’ambiance lors d’une finale. Un jour peut-être…

Lorraine Dagenais

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Babe Ruth

J’ai plusieurs cartes recrues de sports différentes chez moi : Maurice Richard, Sidney Crosby, Alexander Ovechkin, Mario Lemieux, Patrick Roy, Tom Brady, Tiger Woods… mais il y en a une que je n’ai pas et je salive juste à y penser, c’est celle du grand Babe Ruth ! Alors, père Noël, si tu existes vraiment, pense à moi.

Patrice Gagné

En fait, le cadeau serait pour mes fils : j’aimerais pouvoir leur offrir l’occasion d’aller voir un match de la NFL dans l’une ou l’autre des villes de leur équipe. L’un prend pour les Vikings du Minnesota et l’autre pour les Chargers de Los Angeles. Ils y rêvent depuis des années. Ce serait idéal si leurs équipes jouaient l’une contre l’autre.

Lyne Charlebois

PHOTO MIKE HUTCHINGS, ARCHIVES REUTERS

Roger Federer

Comme je suis un très grand fan de Roger Federer, je prendrais bien une raquette avec laquelle il a joué au cours de sa carrière. Je ne suis pas difficile, ce pourrait être n’importe laquelle de ses Wilson.

Frank Vallée

Un bois de départ Titleist TS R2, le dernier-né qui, à peine arrivé sur le marché, nous promet des verges supplémentaires et une trajectoire parfaite. Aucun autre sport ne peut se targuer année après année de pouvoir mettre entre les mains de ses joueurs un outil toujours plus performant ; le golf oui. Le hic : le prix et les espoirs souvent déçus, mais on aime tellement y croire.

Christian Castonguay

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Je vais rêver gros, à quelque chose que je n’aurai jamais les moyens de me payer : une équipe de Formule 1. J’aimerais apprendre tous les rudiments de la gestion, de la mécanique et rencontrer plein de gens intéressants gravitant autour de ce milieu.

Michel Arsenault