![Grande admiratrice des Backstreet Boys, Marie-Andrée Ouellet possède plusieurs objets liés au groupe, dont un chandail de la fondation Brian Littrell’s Healthy Heart Club, autographié et remis par le chanteur. « Je les ai suivis pendant une bonne partie de la tournée de Never Gone aux États-Unis et au Canada. Je demandais le chandail à tous les shows et Brian m’a répondu qu’il me l’offrirait à Montréal. […] Ce geste, ce chandail signifient beaucoup pour moi. »](https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/357x/r3996/4920bc95/4bc22a755c503973a196ef7a5516c512.jpg)
Nos idoles / Parole aux lecteurs Vos souvenirs
-
PHOTO KARENE-ISABELLE JEAN-BAPTISTE, COLLABORATION SPÉCIALE
Le 14 mars 1969, le chanteur français Johnny Hallyday donnait un concert au Centre Paul-Sauvé à Montréal. Jacques Brunet y était. Au moment où son idole a lancé sa chemise dans la foule, il s’est rué dessus et a réussi à en obtenir une manche. Avis aux autres admirateurs du défunt artiste : « J’aime toujours autant Johnny, mais qui sait, une bonne offre et je pourrais m’en départir », lance M. Brunet.
-
![Grande admiratrice des Backstreet Boys, Marie-Andrée Ouellet possède plusieurs objets liés au groupe, dont un chandail de la fondation Brian Littrell’s Healthy Heart Club, autographié et remis par le chanteur. « Je les ai suivis pendant une bonne partie de la tournée de Never Gone aux États-Unis et au Canada. Je demandais le chandail à tous les shows et Brian m’a répondu qu’il me l’offrirait à Montréal. […] Ce geste, ce chandail signifient beaucoup pour moi. »](https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/r3996/4920bc95/4bc22a755c503973a196ef7a5516c512.jpg)
PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
Grande admiratrice des Backstreet Boys, Marie-Andrée Ouellet possède plusieurs objets liés au groupe, dont un chandail de la fondation Brian Littrell’s Healthy Heart Club, autographié et remis par le chanteur. « Je les ai suivis pendant une bonne partie de la tournée de Never Gone aux États-Unis et au Canada. Je demandais le chandail à tous les shows et Brian m’a répondu qu’il me l’offrirait à Montréal. […] Ce geste, ce chandail signifient beaucoup pour moi. »
-
PHOTOS FOURNIES PAR YANIKA DUPUIS / PHOTOMONTAGE LA PRESSE
« Lorsque j’étais enfant, je me faisais intimider et seule la musique de Marie-Mai pouvait me remonter le moral, dit Yanika Dupuis, 17 ans, qui a commencé à communiquer avec la chanteuse sur les réseaux sociaux. Grâce à elle, j’ai réussi à terminer le secondaire ! Marie-Mai est l’une des personnes les plus importantes à mes yeux. Celle qui a su me donner l’envie de continuer à vivre, qui m’a redonné confiance en moi. » Yanika lui a demandé de signer son album de finissants.
-
PHOTO FOURNIE PAR DANIEL ROY
Le poète Daniel Roy a rencontré le poète et homme politique martiniquais Aimé Césaire dans son île natale en 2006, quelques années avant sa mort. « Voici mon idole noire, Aimé Césaire, qui me fait signe de venir lui parler avec toute ma blancheur de poète. Une impérissable rencontre. Cet immense poète de la négritude échange avec un rebelle poète d’East Angus. » Sur la photo, il a écrit : « À Daniel Roy, un Québécois et un poète universel ».
-
PHOTO FOURNIE PAR DENYS LORTIE
Comme bien des gens, Denys Lortie, amoureux des Aventures de Tintin, a écrit à Hergé alors qu’il avait 12 ans. Non seulement il lui a répondu, mais il lui a aussi envoyé des planches originales. Leur correspondance a duré sept ans. « J’avais perdu toute trace de ces lettres jusqu’au jour où j’ai appris que l’auteur avait gardé sur microfilm tous ses échanges épistolaires. Après avoir longuement talonné la Fondation Hergé, quelques jours avant Noël, j’ai reçu les 22 pages de cette correspondance de jeunesse. »
-
PHOTO FOURNIE PAR DENIS BEAUREGARD
En 1990, Denis Beauregard, du Témiscamingue, était en visite chez son oncle et sa tante à Rosemère, ville de résidence de son idole Raymond Bourque, ancien joueur des Bruins de Boston. « Nous avons à peine le temps de stationner la voiture devant sa résidence qu’il sort en maillot de bain, serviette au cou ! Il vient à notre rencontre et nous échangeons quelques mots. » L’hiver suivant, lors d’un match au Forum, il fait signer la photo prise ce jour-là.
-
PHOTO FOURNIE PAR DIANE BERGERON
Diane Bergeron a assisté à son premier concert de U2 en 1985, à Ottawa. Son amie et elle ont eu la chance de croiser Bono et de prendre une photo qu’il a signée en 2018 lors d’un spectacle à Laval. « J’ai fait la groupie devant la Place Bell alors que le groupe répétait. Bono est arrivé devant moi, je lui ai présenté ma vieille photo. Il a ri et a dit : Oh boy ! I was young ! »
-
PHOTO FOURNIE PAR RICHARD VERDON
Cette photo d’Elvis Presley a été prise par Richard Verdon, à Memphis. Il était devant Graceland quand la voiture du King est apparue. « Après qu’il a parlé avec des admirateurs, la voiture s’est engagée sur la route. Je me suis mis à courir derrière sur une bonne distance. Tout à coup, la voiture s’est arrêtée, la vitre s’est baissée et Elvis m’a serré la main. Il m’a dit : Sorry, I’m going to the airport. La voiture a démarré. »
-
PHOTO FOURNIE PAR PATRICK ROBINSON
Dans les années 1980, avec sa petite amie de l’époque, Patrick Robinson a fondé le fan-club Joan’s Gang, consacré à son idole Joan Jett du groupe Joan Jett and the Blackhearts (I Love Rock’n Roll). Ils produisaient un fanzine bilingue approuvé par la chanteuse. « Après un spectacle à Hampton Beach, j’ai demandé à Joan de signer sur mon bras et, à mon retour à Montréal, je l’ai fait tatouer par-dessus. Ce tatouage est toujours là, en souvenir de cette folle époque. »
-
PHOTO FOURNIE PAR CATHERINE DESLONGCHAMPS
« Quand j’avais 9 ou 10 ans, j’aimais énormément le bédéiste F’Murrr, qui faisait la série Le Génie des alpages, se souvient Catherine Deslongchamps. Ma mère m’avait convaincue de lui écrire via son éditeur, ce que j’avais fait en n’y croyant pas trop, joignant à ma lettre un dessin d’une brebis dans son style. Il m’a non seulement répondu, mais il m’a fait un joli dessin à l’encre, que j’ai évidemment encore en ma possession et que je vais chérir toute ma vie. »
-
PHOTOS FOURNIES PAR SYLVIE PELLETIER / PHOTOMONTAGE LA PRESSE
Téléspectatrice fidèle de l’émission Jeunesse d’aujourd’hui, Sylvie Pelletier avait 12 ans lorsqu’elle a appris dans un journal à potins que Télé-Métropole songeait à ne pas renouveler le contrat de l’animateur Jacques Salvail, son idole à l’époque. « J’étais en 3e année, j’avais fait une pétition et obtenu des centaines de signatures des élèves de mon école. Je l’ai postée à la station de télé. » C’est Jacques Salvail lui-même qui lui a répondu.
1/11
