Les États-Unis reconnaissent désormais le Conseil national de transition, l'organe politique des rebelles, comme «autorité gouvernementale légitime» en Libye, comme on peut le lire dans cet article. Cette reconnaissance, annoncée par la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton et les délégués de plus de 30 pays réunis à Istanbul, confère à l'opposition libyenne un statut diplomatique fortement renforcé sur la scène internationale et accentue la pression sur Moammar Kadhafi, au pouvoir depuis 42 ans.