«Chaque dictateur peut choisir sa définition de la sécurité nationale. Avec cette définition, beaucoup peuvent tuer des gens au nom de la sécurité nationale, beaucoup peuvent torturer au nom de la sécurité nationale et détenir des enfants au nom de la sécurité nationale. Au nom de Dieu, quand le gouvernement est triste parce que 3 000 personnes ont été tuées le 11-Septembre, on devrait se sentir désolé que le gouvernement américain ait tué des millions de personnes au nom de la sécurité nationale.»

- Khaled Cheikh Mohammed, considéré comme le cerveau des attentats du 11 septembre 2001, faisant la leçon au gouvernement américain hier lors d'une audience préliminaire à un tribunal militaire de Guantanamo.