On ne vous apprendra pas grand-chose en disant que le passage de Paul McCartney restera gravé dans le coeur des gens de Québec. Mais ce qu'on sait moins est que la capitale aura aussi joué un rôle tout spécial dans la vie amoureuse de McCartney.

Car au-delà du spectacle mémorable, la capitale est aussi le lieu où l'ex-Beatle a officialisé sa relation avec sa nouvelle flamme, Nancy Shevell, 47 ans.

Eh oui, selon le journal britannique Daily Mirror, c'est à Québec que Sir Paul a présenté pour la première fois sa «blonde» brunette à ses proches collaborateurs.

Selon une source proche du chanteur citée par le Mirror, McCartney et Shevell semblaient très amoureux lors d'un souper la veille du spectacle dont on sait maintenant qu'il s'est tenu au Saint-Amour.

«Nancy était dans une forme rayonnante et elle a charmé tout le monde», a expliqué la source avant de raconter que le couple s'est rendu au Château Frontenac, où il avait réservé la suite la plus luxueuse.

Le lendemain, McCartney et sa douce ont fait un peu de tourisme et de vélo. La femme et l'ex-Beatle auraient noué une liaison il y a déjà plusieurs mois, la première photo les montrant en train de s'échanger un baiser remontant au mois de novembre.

L'élue du coeur de Sir Paul, Nancy Shevell, est une riche avocate récemment séparée de son mari Bruce Blakeman, un administrateur du port de New York. En novembre, le journal anglais The Sun révélait aussi qu'en 1996, elle a combattu un cancer du sein, la maladie à laquelle a succombé Linda McCartney, la première femme de l'ex-Beatle en 1998.

Il faut dire que l'arrivée d'une nouvelle femme dans la vie de McCartney est particulièrement suivie depuis son divorce houleux d'avec Heather Mills. La saga sentimentalo-financière très médiatisée qui a opposé le chanteur à l'ex-mannequin et défenderesse des phoques devant l'éternel, s'est conclue en mars, plus d'un an et demi après les premières rumeurs de divorce.

La guerre judiciaire a pris fin lorsque l'ex-Beatle a été sommé de céder près de 49 millions $CAN à Heather Mills en plus de verser une rente annuelle de 70 000 $ pour subvenir aux besoins de leur fille de quatre ans, Beatrice.