Une semaine avant la première de la comédie musicale Annie, les interprètes de l’adaptation québécoise du classique de Broadway sont montés sur la scène du Théâtre Saint-Denis pour présenter un aperçu de leur travail.

  • « C’est comme un bootcamp assez dur pour [les jeunes actrices] : danse, chant, etc. Mais aussi, c’est une expérience qui les remplit, qui les rend de bonne humeur », résume le metteur en scène Serge Denoncourt. Kayla et sa doublure, Ange-Élie Ménard (au centre de la photo), abondent dans le même sens en expliquant qu’elles se sentent privilégiées de participer à cette œuvre et d’assister à la construction de ce spectacle.

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    « C’est comme un bootcamp assez dur pour [les jeunes actrices] : danse, chant, etc. Mais aussi, c’est une expérience qui les remplit, qui les rend de bonne humeur », résume le metteur en scène Serge Denoncourt. Kayla et sa doublure, Ange-Élie Ménard (au centre de la photo), abondent dans le même sens en expliquant qu’elles se sentent privilégiées de participer à cette œuvre et d’assister à la construction de ce spectacle.

  • Dans cette adaptation, le metteur en scène veut rendre hommage aux comédies musicales des années 1930 en adoptant une esthétique au côté vieillot, nostalgique. La chorégraphe Wynn Holmes a fait ses recherches pour parvenir à recréer les styles d’antan : « C’était de voir quels étaient les mouvements dans ces années et comment on peut garder ça avec une énergie d’aujourd’hui dans l’interprétation. »

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    Dans cette adaptation, le metteur en scène veut rendre hommage aux comédies musicales des années 1930 en adoptant une esthétique au côté vieillot, nostalgique. La chorégraphe Wynn Holmes a fait ses recherches pour parvenir à recréer les styles d’antan : « C’était de voir quels étaient les mouvements dans ces années et comment on peut garder ça avec une énergie d’aujourd’hui dans l’interprétation. »

  • Les deux jeunes actrices, qui parlent au « on », clarifient tout de suite qu’elles n’éprouvent pas de sentiment de compétition. « Ce sont les deux meilleures amies du monde », affirme Serge Denoncourt. « Elles sont formidables. On apprend en les regardant : travail, discipline, disponibilité, liberté… C’est vraiment beau », souligne Geneviève Alarie, qui interprète la méchante patronne alcoolique de l’orphelinat, Miss Hannigan, l’un de ses personnages préférés de l’histoire.

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    Les deux jeunes actrices, qui parlent au « on », clarifient tout de suite qu’elles n’éprouvent pas de sentiment de compétition. « Ce sont les deux meilleures amies du monde », affirme Serge Denoncourt. « Elles sont formidables. On apprend en les regardant : travail, discipline, disponibilité, liberté… C’est vraiment beau », souligne Geneviève Alarie, qui interprète la méchante patronne alcoolique de l’orphelinat, Miss Hannigan, l’un de ses personnages préférés de l’histoire.

  • « J’ai monté Les choristes il y a quelques années, où on voyait une solidarité entre garçons, et je trouve ça le fun qu’il y ait une réponse, avec Annie, d’une solidarité entre filles. Je trouve que ça envoie une belle image aux petites filles qui vont venir voir le spectacle », dit Serge Denoncourt. Au fil des répétitions, « les petites se sont ouvertes, on les a vues se déployer. Je les ai vues devenir des actrices, j’ai trouvé ça très émouvant, très touchant », ajoute Geneviève Alarie, qui partage souvent la scène avec elles.

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    « J’ai monté Les choristes il y a quelques années, où on voyait une solidarité entre garçons, et je trouve ça le fun qu’il y ait une réponse, avec Annie, d’une solidarité entre filles. Je trouve que ça envoie une belle image aux petites filles qui vont venir voir le spectacle », dit Serge Denoncourt. Au fil des répétitions, « les petites se sont ouvertes, on les a vues se déployer. Je les ai vues devenir des actrices, j’ai trouvé ça très émouvant, très touchant », ajoute Geneviève Alarie, qui partage souvent la scène avec elles.

  • « On est tous rendus une grande famille », estime Kayla Tucker, heureuse et reconnaissante d’être sous les projecteurs. « Pour nous, la scène, c’est comme notre deuxième maison. L’entrée en salle, c’est vraiment extraordinaire », ajoute Ange-Élie Ménard, qui interprète également le rôle d’une orpheline.

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    « On est tous rendus une grande famille », estime Kayla Tucker, heureuse et reconnaissante d’être sous les projecteurs. « Pour nous, la scène, c’est comme notre deuxième maison. L’entrée en salle, c’est vraiment extraordinaire », ajoute Ange-Élie Ménard, qui interprète également le rôle d’une orpheline.

  • Pour Serge Denoncourt, ce spectacle s’ancre dans un moment particulier : « Annie, ça dit juste : “Demain, le soleil va briller, gardons confiance, continuons, ça va finir par aller bien.” Donc, après cette période de COVID-19 et avec l’inflation, Annie, elle dit : “Hé, gardons le sourire, on va passer au travers.” »

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    Pour Serge Denoncourt, ce spectacle s’ancre dans un moment particulier : « Annie, ça dit juste : “Demain, le soleil va briller, gardons confiance, continuons, ça va finir par aller bien.” Donc, après cette période de COVID-19 et avec l’inflation, Annie, elle dit : “Hé, gardons le sourire, on va passer au travers.” »

  • « J’espère que les gens vont venir nombreux, en famille, et sortir le sourire aux lèvres parce qu’ils vont avoir passé un bon moment », souhaite David Savard, qui incarne le millionnaire Oliver Warbucks, qui adoptera l’orpheline. De son côté, Serge Denoncourt est sûr que l’histoire fera vivre aux spectateurs différentes émotions en plus de les faire tomber amoureux de ses « deux Annie ».

    PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE

    « J’espère que les gens vont venir nombreux, en famille, et sortir le sourire aux lèvres parce qu’ils vont avoir passé un bon moment », souhaite David Savard, qui incarne le millionnaire Oliver Warbucks, qui adoptera l’orpheline. De son côté, Serge Denoncourt est sûr que l’histoire fera vivre aux spectateurs différentes émotions en plus de les faire tomber amoureux de ses « deux Annie ».

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