Quelques nouvelles tirées du monde de la technologie.

Jeux vidéo rétro

Vous avez un petit coup de nostalgie et voulez rejouer à Bug’s Life sur Nintendo 64 ou Harry Potter sur Gamecube ? Fort de son succès en ligne, Rétro MTL aura pignon sur rue à partir du 25 mai, rue Hochelaga, pour y offrir environ 2000 jeux vidéo, consoles et accessoires, « de l’Atari à la PS4 », résume Dominic Bourret, un des trois copropriétaires. « Ce sont tous des articles usagés, des jeux personnels de gens qui collectionnent ça depuis longtemps et qui veulent s’en départir », explique-t-il. Les produits Nintendo sont particulièrement populaires, note-t-il. Une section spéciale où on proposera des tournois et des ateliers de réparation est également au menu.

Saint-Laurent 2.0

IMAGE FOURNIE PAR L’ARRONDISSEMENT DE SAINT-LAURENT

L’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, a concocté une application mobile qui propose quelques informations très utiles.

L’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, a concocté une application mobile qui gagne à être découverte. D’abord parce qu’elle est belle, ensuite parce qu’on y trouve quelques informations très utiles, notamment les activités des bibliothèques et un répertoire des ventes-débarras que les citoyens organisent. Cet onglet plus récent est utilisé avec assiduité par les vendeurs, qui sont une soixantaine inscrits ce week-end, indique-t-on à l’arrondissement. Mine de rien, l’application a été téléchargée 2340 fois dans les 12 derniers mois. « En tout, 89 % de ces personnes viennent de Montréal et on a même un utilisateur de l’Oregon ! », précise par courriel Marc-Olivier Fritsch, chargé de communications.

Recherche éthique

Votre recherche sur l’internet pourrait servir à replanter des arbres en Haïti ou à mettre sur pied un système de covoiturage à Nairobi. C’est le pari qu’ont fait deux moteurs de recherche européens, Ecosia et Lilo. Ecosia reverse 80 % de ses revenus publicitaires à des initiatives de reboisement et affirme avoir ainsi planté plus de 57 millions d’arbres. Sur Lilo, chaque recherche donne droit à une « goutte d’eau » qui peut être reversée à de « beaux projets sociaux et environnementaux », lit-on.