Je suis plutôt d'accord avec Joël Bouchard qui, ce matin à CKOI, se demandait lui aussi pourquoi l'entraîneur Jacques Martin n'employait pas Erik Cole en supériorité numérique.

Vous avez un vétéran payé grassement, il arrive à Montréal rempli de bonnes intentions, donnez-lui la chance de réussir. Ne le placez pas dans une situation où il aura à affronter la horde de journalistes après une léthargie de six matchs. Les points s'obtiennent plus facilement en supériorité numérique et avec les meilleurs joueurs offensifs.

Comme le disait Joël, ça ne fait pas de Jacques Martin un mauvais coach, mais il me semble que c'est toujours une bonne idée de placer ses nouveaux joueurs d'impact dans des situations gagnantes. À moins que l'entraîneur n'ait de très bonnes raisons qu'il garde pour lui et qu'il en ait informé Cole. On ne sait pas toujours ce qui se trame en coulisses vous savez...

Mais de la façon dont le match s'est déroulé, Cole ne mettra pas de temps à se retrouver devant le filet comme il sait si bien le faire à cinq contre quatre.